Réseaux sociaux au Tchad : La poubelle des idées
Réseaux sociaux au Tchad : La poubelle des idées
La période de la transition au Tchad est marquée par des tensions entre les militaires, partis politiques, religieux, société civile, citoyens lambda et autres acteurs. Tous utilisent les réseaux sociaux surtout Facebook pour communiquer aux publics. Avec de panoplie de contenus, les messages font l'objet de diverses réactions des internautes qui parfois influencent sur les positions publiques. Mais cet espace de communication n'est pas sans conséquence sur la vie des citoyens. Pour la publication des nominations par exemple, les autorités utilisent Facebook au lieu de la radio comme par le passé. Certaines personnes sont demies de leurs fonctions via ce même canal. L'on se demande si les lois qui régulent l'usage des réseaux sociaux permet-elles à l'Etat à adopter cette procédure de publication au détriment des médias classiques ?
Tout acte d'utilité publique, ou communiqué administratif est publié sur les réseaux sociaux. Parfois, la publication donne l'occasion aux réactions les plus fébriles des internautes. A l'exemple des remplacements numériques à la police nationale qui a fait tomber des tonnes de réactions en boucle des citoyens qui se voient abusés de la confiance qu'ils ont donné aux autorités de transition.
Les réseaux sociaux changent complètement le mode de la communication classique. Dès lors, les internautes ne s'intéressent pas à faire usage des moteurs de recherches pour acquérir des connaissances nouvelles. Mais, plutôt ils s'adonnent aux réseaux sociaux soit pour passer un message soit se faire écouter où encore consommer l'information des autres publiées sur la toile.
Au Tchad, la toile devient un espace d'affrontements politiques. Plusieurs partis de livrent à des guerres en tissant de plus bel la toile. Par la création des comptes officiels ou individuels, les hommes politiques en dehors des médias classiques, véhiculent leurs messages beaucoup plus à travers les réseaux sociaux. Avec de panoplie de contenus publiés en image et en vidéo voire audio, l'œuvre de Mark Zuckerberg fascine à beaucoup d'utilisateurs. Ces derniers jours, les acteurs politiques se concentrent sur une communication en ligne via Facebook pour se faire vite écouter. C'est le cas lors de la précampagne du président de la transition Mahamat Idriss Déby Itno dans les 23 provinces du pays. Lorsqu'on parcours les publications des hommes politiques, deux protagonistes font la lutte la plus acharnées des temps modernes.
Le réseau social Facebook est un espace de communication rapide. Mais son utilisation pose de sérieux problème dans la vie des utilisateurs. Les institutions publiques elles mêmes se sont lancées dans cette voie de communication. Les actes officiels sont publiés sur la toile pourtant notre pays est le moins connecté au monde avec une couverture internet très faible. De quoi à surprendre des citoyens pendant les nominations à des postes de responsabilité.
La période de la transition au Tchad est marquée par des tensions entre les militaires, partis politiques, religieux, société civile, citoyens lambda et autres acteurs. Tous utilisent les réseaux sociaux surtout Facebook pour communiquer aux publics. Avec de panoplie de contenus, les messages font l'objet de diverses réactions des internautes qui parfois influencent sur les positions publiques. Mais cet espace de communication n'est pas sans conséquence sur la vie des citoyens. Pour la publication des nominations par exemple, les autorités utilisent Facebook au lieu de la radio comme par le passé. Certaines personnes sont demies de leurs fonctions via ce même canal. L'on se demande si les lois qui régulent l'usage des réseaux sociaux permet-elles à l'Etat à adopter cette procédure de publication au détriment des médias classiques ?
Tout acte d'utilité publique, ou communiqué administratif est publié sur les réseaux sociaux. Parfois, la publication donne l'occasion aux réactions les plus fébriles des internautes. A l'exemple des remplacements numériques à la police nationale qui a fait tomber des tonnes de réactions en boucle des citoyens qui se voient abusés de la confiance qu'ils ont donné aux autorités de transition.
Les réseaux sociaux changent complètement le mode de la communication classique. Dès lors, les internautes ne s'intéressent pas à faire usage des moteurs de recherches pour acquérir des connaissances nouvelles. Mais, plutôt ils s'adonnent aux réseaux sociaux soit pour passer un message soit se faire écouter où encore consommer l'information des autres publiées sur la toile.
Au Tchad, la toile devient un espace d'affrontements politiques. Plusieurs partis de livrent à des guerres en tissant de plus bel la toile. Par la création des comptes officiels ou individuels, les hommes politiques en dehors des médias classiques, véhiculent leurs messages beaucoup plus à travers les réseaux sociaux. Avec de panoplie de contenus publiés en image et en vidéo voire audio, l'œuvre de Mark Zuckerberg fascine à beaucoup d'utilisateurs. Ces derniers jours, les acteurs politiques se concentrent sur une communication en ligne via Facebook pour se faire vite écouter. C'est le cas lors de la précampagne du président de la transition Mahamat Idriss Déby Itno dans les 23 provinces du pays. Lorsqu'on parcours les publications des hommes politiques, deux protagonistes font la lutte la plus acharnées des temps modernes.
Le réseau social Facebook est un espace de communication rapide. Mais son utilisation pose de sérieux problème dans la vie des utilisateurs. Les institutions publiques elles mêmes se sont lancées dans cette voie de communication. Les actes officiels sont publiés sur la toile pourtant notre pays est le moins connecté au monde avec une couverture internet très faible. De quoi à surprendre des citoyens pendant les nominations à des postes de responsabilité.