Selon le communiqué signé du porte parole Max Lwangar, l'initiative est à saluer si elle s'inscrit véritablement dans le sens d'accroître la souveraineté du peuple. Toutefois, la coordination émet des inquiétudes quant au soutien des élections par l'union européenne. Elle estime que la communauté internationale doit d'abord s'intéresser au climat politique délétère avant de s'engager dans un tel processus. 

Wakit tamma estime que le dialogue national inclusif sensé recoudre les tissus est tronqué de massacres non élucidés du 20 octobre 2022 et d'une restriction incommensurable des libertés publiques et emporte des entorses graves à l'Etat de droit. Ainsi, la coordination averti que si des sanctions consensuelles ne sont apportées, les élections, dans ce contexte, constitueraient une forfaiture, une farce de mauvais goût, visant à legetimer une dynastie au Tchad.  

Au vu du clichet sombre dressé, wakit tamma exhorte l'Union Européenne et la communauté internationale à privilégier la voie d'une paix durable fondée sur la transparence et le respect de principes d'intégrité des différentes parties prenantes. Le communiqué mentionne qu'il est un impératif de surseoir à tout soutien ou du moins le lié à des conditionnalités pour un vrai dialogue et l'aboutissement satisfaisant de l'enquête internationale sur les événements du 20 octobre, étant donné que les différents rapports produits à cette date ne pas sont exhaustifs.