Tchad : Le peuple face à un dialogue des plaisantins

Tchad : Le peuple face à un dialogue des plaisantins

Politique Bande Info 3 octobre 2024 316

Commencé depuis trois jours, le dialogue national dit "inclusif" fait toujours preuves d'immaturité. Et les voix s'entremêlent depuis l'annonce de ce dialogue. Société civile, hommes politiques, médecins, journalistes voire les garants de la justice ne sont restés indifférant à la dénonciation de la mal organisation de ce fameux pourparlers qui devraient "refonder le Tchad" et unir tous les tchadiens sans équivoque.

Commencé depuis trois jours, le dialogue national dit "inclusif" fait toujours preuves d'immaturité. Et les voix s'entremêlent depuis l'annonce de ce dialogue. Société civile, hommes politiques, médecins, journalistes voire les garants de la justice ne sont restés indifférant à la dénonciation de la mal organisation de ce fameux pourparlers qui devraient "refonder le Tchad" et unir tous les tchadiens sans équivoque.

Tchad : Le peuple face à un dialogue des plaisantins

Le commencement d'immaturité de ce dialogue a lieu depuis DOHA à Qatar. Un pré-dialoge saboté à plusieurs reprises et a duré six mois. Malgré tout, tous les politicomilitaires n'ont pas apposé leurs signatures à cet accord. Beaucoup, avaient pointe du doigt accusateur le PCMT d'être à l'origine de cette manipulation.

Un adage populaire dit "Tout est bien, qui fini bien". Ce désordre constaté ci et là n'est que la suite logique qu'il y avait au prédialogue. Beaucoup de Partis politiques à l'exemple du parti Les transformateurs, la société civile comme Wakit Tama sont catégoriques quant à leur participation jusqu'aujourd'hui. Pour eux, ce dialogue ne renferme guère toutes les conditions nécessaires pouvant motiver leur participation.

Certains partis politiques (coalition d'harmonisation des partis politiques) qui, prennent part actuellement à ce dialogue se voient mis de bâton sur les roues par CODNI depuis le pré-dialogue en cessant toute communication avec cette coalition qui est légitime. 

Les avocats, les médecins et bien d'autres corporations se voient l'aise par structure codni et menacent d'annuler leur participation si jamais rien n'est fait allant dans le bon sens. La parole est refusée à d'autres participants qui ont sans doute des choses importantes à dire, hélas..!

Pire encore , des personnalités (participants) dorment à volonté comme un nouveau-né ayant pris un bain chaud accompagné d'un massage d'huile de carité. C'est "un concours des dormeurs" qui s'organise. 

Comment discuter avec celui qui dort? Nous nous sommes jadis dit, que désormais, le Tchad et l'Afrique doivent se réveiller pour changer et acquérir son bonheur. 

Les journalistes sont empêchés et casernés dans une salle pour couvrir cet événement via un petit écran téléviseur. Quelle honte et humiliation pour ces hommes de plumes? 

Certains participants constatant dans la salle, ont sollicité au troisième jour de ces assises, la participation immédiate aux actions de Wakit Tama afin de rendre plus performant. Au vu de ces manquements, il en manque d'ingrédients et assaisonnements dans cette sauce qui est "DNIS" et aussi, vu les agissements de gauche à droite des trois jours de déroulement, ce dialogue arrivera-t- il à son terme ?

Le commencement d'immaturité de ce dialogue a lieu depuis DOHA à Qatar. Un pré-dialoge saboté à plusieurs reprises et a duré six mois. Malgré tout, tous les politicomilitaires n'ont pas apposé leurs signatures à cet accord. Beaucoup, avaient pointe du doigt accusateur le PCMT d'être à l'origine de cette manipulation.

Un adage populaire dit "Tout est bien, qui fini bien". Ce désordre constaté ci et là n'est que la suite logique qu'il y avait au prédialogue. Beaucoup de Partis politiques à l'exemple du parti Les transformateurs, la société civile comme Wakit Tama sont catégoriques quant à leur participation jusqu'aujourd'hui. Pour eux, ce dialogue ne renferme guère toutes les conditions nécessaires pouvant motiver leur participation.

Certains partis politiques (coalition d'harmonisation des partis politiques) qui, prennent part actuellement à ce dialogue se voient mis de bâton sur les roues par CODNI depuis le pré-dialogue en cessant toute communication avec cette coalition qui est légitime. 

Les avocats, les médecins et bien d'autres corporations se voient l'aise par structure codni et menacent d'annuler leur participation si jamais rien n'est fait allant dans le bon sens. La parole est refusée à d'autres participants qui ont sans doute des choses importantes à dire, hélas..!

Pire encore , des personnalités (participants) dorment à volonté comme un nouveau-né ayant pris un bain chaud accompagné d'un massage d'huile de carité. C'est "un concours des dormeurs" qui s'organise. 

Comment discuter avec celui qui dort? Nous nous sommes jadis dit, que désormais, le Tchad et l'Afrique doivent se réveiller pour changer et acquérir son bonheur. 

Les journalistes sont empêchés et casernés dans une salle pour couvrir cet événement via un petit écran téléviseur. Quelle honte et humiliation pour ces hommes de plumes? 

Certains participants constatant dans la salle, ont sollicité au troisième jour de ces assises, la participation immédiate aux actions de Wakit Tama afin de rendre plus performant. Au vu de ces manquements, il en manque d'ingrédients et assaisonnements dans cette sauce qui est "DNIS" et aussi, vu les agissements de gauche à droite des trois jours de déroulement, ce dialogue arrivera-t- il à son terme ?

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