Burkina Faso : un cas confirmé de la maladie à virus Zika enregistré dans un district sanitaire
Burkina Faso : un cas confirmé de la maladie à virus Zika enregistré dans un district sanitaire
OUAGADOUGOU, 19 avril (Xinhua) -- Un cas confirmé de maladie à virus Zika a été enregistré le 8 avril 2025 dans le district sanitaire de Ziniaré, dans la région du Plateau-Central au Burkina Faso, a annoncé le ministère de la Santé et de l'Hygiène publique dans une note d'information.
OUAGADOUGOU, 19 avril (Xinhua) -- Un cas confirmé de maladie à virus Zika a été enregistré le 8 avril 2025 dans le district sanitaire de Ziniaré, dans la région du Plateau-Central au Burkina Faso, a annoncé le ministère de la Santé et de l'Hygiène publique dans une note d'information.

Selon la note rendue publique vendredi, le ministère de la Santé révèle que le système de surveillance épidémiologique a reçu la notification par le laboratoire national de référence des fièvres hémorragiques virales (LNR-FHV) d'un cas confirmé de maladie à virus Zika. En terme du ministère, le risque de transmission demeure grand au regard des données entomologiques indiquant la forte présence des moustiques de type Aedes, vecteurs impliqués dans la transmission de ces fièvres hémorragiques et la situation sanitaire sous-régionale indiquant la circulation de Zika.
Le secrétaire général du ministère de la Santé, Joël Arthur Kiendrebéogo, a rappelé aux responsables des structures de santé la nécessité d'un renforcement de la surveillance épidémiologique, indique la note. Il n'y a pas de traitement antiviral spécifique, ni de vaccin actif sur le virus Zika, qui peut entraîner des complications neurologiques et des malformations congénitales. Ailette
Selon la note rendue publique vendredi, le ministère de la Santé révèle que le système de surveillance épidémiologique a reçu la notification par le laboratoire national de référence des fièvres hémorragiques virales (LNR-FHV) d'un cas confirmé de maladie à virus Zika. En terme du ministère, le risque de transmission demeure grand au regard des données entomologiques indiquant la forte présence des moustiques de type Aedes, vecteurs impliqués dans la transmission de ces fièvres hémorragiques et la situation sanitaire sous-régionale indiquant la circulation de Zika.
Le secrétaire général du ministère de la Santé, Joël Arthur Kiendrebéogo, a rappelé aux responsables des structures de santé la nécessité d'un renforcement de la surveillance épidémiologique, indique la note. Il n'y a pas de traitement antiviral spécifique, ni de vaccin actif sur le virus Zika, qui peut entraîner des complications neurologiques et des malformations congénitales. Ailette