Roger Boriata: un autre précurseur de génie

Roger Boriata: un autre précurseur de génie

Société Bande Info 3 octobre 2024 630

Roger Boriata: un autre précurseur de génie

L'architecture, discipline qui impose le respect de l'éducation et la culture est encore présente au Tchad. Alors que l'on ne s'y attendait après le départ de l'architecte Suisse René Sherer en 1998. Ayant quitté la direction de " Arc en terre", le Suisse avait laissé un vide dans le domaine. C'est alors un autre génie vient de s'installer dans les locaux de "Arc en terre". Cette fois avec l'Agence tchadienne d'architecture, d'urbanisme et de design ( Ataud) dirigé par Roger Batrane comme l'appelle affectueusement à Saint Louis au Sénégal. 

Premier architecte tchadien diplômé par le gouvernement français (Dplg), Roger a par ailleurs a obtenu les félicitations du jury composé par le général Michel Blesbois, ancien directeur central du génie militaire et président de l'association des anciens enfants de troupe; Mario Bonilla, enseignant à l'école d'architecture de Saint-Étienne ; Xavier Jaupitre, enseignant à l'école d'architecture Paris-la Villette également, et directeur d'étude du diplôme ; maître Seyni Loum, originaire de Saint-Louis et ancien ministre de la justice; et enfin Roseline Quiko, architecte et présidente du jury. Rapporte le journal du groupe SudCom du Sénégal.

Passionné de l'éducation et la culture, Roger Boriata incarne les valeurs de la préservation de la culture tchadienne. Avec Ataud, il a fait des études et suivis de nombreux travaux présidentielles et autres. Enseignant à l'Enstp, il est aussi membre du jury international des diplômes de l'école d'architecture de Lomé ainsi que membre de l'Union des architectes africains et internationales.

Aujourd'hui, le gouvernement tchadien ne prend pas ses conseils en compte surtout sur la question des inondations de la ville de N'Djamena. Pourtant, il a proposé les solutions pouvant éviter ce phénomène naturel. Son savoir faire qu'il cesse de partager pouvait aider le pays à sortir des défis de différents ordre mais, au pays de Toumaï, la médiocrité règne comme une règle d'or. 

Cependant, le natif de Sarh continue à se battre pour se faire entendre afin que son pays puisse bénéficier de l'étendue de ses expériences. Aujourd'hui, il est le seul tchadien primé lors du forum mondial de jeunes architectes à Paris en 1993.

L'architecture, discipline qui impose le respect de l'éducation et la culture est encore présente au Tchad. Alors que l'on ne s'y attendait après le départ de l'architecte Suisse René Sherer en 1998. Ayant quitté la direction de " Arc en terre", le Suisse avait laissé un vide dans le domaine. C'est alors un autre génie vient de s'installer dans les locaux de "Arc en terre". Cette fois avec l'Agence tchadienne d'architecture, d'urbanisme et de design ( Ataud) dirigé par Roger Batrane comme l'appelle affectueusement à Saint Louis au Sénégal. 

Premier architecte tchadien diplômé par le gouvernement français (Dplg), Roger a par ailleurs a obtenu les félicitations du jury composé par le général Michel Blesbois, ancien directeur central du génie militaire et président de l'association des anciens enfants de troupe; Mario Bonilla, enseignant à l'école d'architecture de Saint-Étienne ; Xavier Jaupitre, enseignant à l'école d'architecture Paris-la Villette également, et directeur d'étude du diplôme ; maître Seyni Loum, originaire de Saint-Louis et ancien ministre de la justice; et enfin Roseline Quiko, architecte et présidente du jury. Rapporte le journal du groupe SudCom du Sénégal.

Passionné de l'éducation et la culture, Roger Boriata incarne les valeurs de la préservation de la culture tchadienne. Avec Ataud, il a fait des études et suivis de nombreux travaux présidentielles et autres. Enseignant à l'Enstp, il est aussi membre du jury international des diplômes de l'école d'architecture de Lomé ainsi que membre de l'Union des architectes africains et internationales.

Aujourd'hui, le gouvernement tchadien ne prend pas ses conseils en compte surtout sur la question des inondations de la ville de N'Djamena. Pourtant, il a proposé les solutions pouvant éviter ce phénomène naturel. Son savoir faire qu'il cesse de partager pouvait aider le pays à sortir des défis de différents ordre mais, au pays de Toumaï, la médiocrité règne comme une règle d'or. 

Cependant, le natif de Sarh continue à se battre pour se faire entendre afin que son pays puisse bénéficier de l'étendue de ses expériences. Aujourd'hui, il est le seul tchadien primé lors du forum mondial de jeunes architectes à Paris en 1993.

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