L'image que présente ce marché ne mérite pas celle d'un marché de la capitale de surcroît celle qu'on tente d'appeler vitrine de l'Afrique centrale. La voie principale, transformée en etal. Des vendeuses de légumes, beignets, téléphones, piétons, motocyclistes, et voitures se permuttent la voie dans tous les sens. Le plus marquant et désolant c'est la présence des policiers municipaux qui, dans cette foule prélèvent tranquillement le droit de place.

Dégeurpis de leur lieu de vente habituelle, ces commerçants se sont déversés sur l'unique voie publique d'emprunt pour la plupart des habitants des quartiers sud de la capitale qui cherchent à atteindre le centre ville. 

Même si les raisons du dégeurpissement de cette partie du marché de dembé restent non élucidées, ça remet en cause defacto l'agenda du Maire de la ville Ali Haroun. En début de l'année, le Maire a lancé une opération de déguerpissement des boutiques installées sur de voies publiques en vue de rendre fluide la circulation.

Il serait judicieux de prévoir un space de réserve avant d'envisager un tel projet en plein centre de la capitale politique qui est d'ailleurs l'image du pays.