Tchad : Des manifestants du 20 octobre passent 06 mois de prison sans être jugés ni condamnés

Tchad : Des manifestants du 20 octobre passent 06 mois de prison sans être jugés ni condamnés

Société Bande Info 3 octobre 2024 406

Au cours d'un point de presse animé ce 18 avril à la radio FM liberté, le cordonateur du Mouvement Citoyen pour la Préservation des Libertés, Sosthéne Mbernodji clame haut et fort la libération des manifestants du 20 octobre tenus encore aux cachots dans des prisons.

Au cours d'un point de presse animé ce 18 avril à la radio FM liberté, le cordonateur du Mouvement Citoyen pour la Préservation des Libertés, Sosthéne Mbernodji clame haut et fort la libération des manifestants du 20 octobre tenus encore aux cachots dans des prisons.

Tchad : Des manifestants du 20 octobre passent 06 mois de prison sans être jugés ni condamnés

"Nous voulons porter à la connaissance de l’opinion publique nationale et internationale le cas des 17 jeunes arrêtés suite aux manifestations du 20 octobre 2022, qui croupissent à la maison d’arrêt de Moundou sans que leur procès ne soit ouvert, renseigne le cordonateur Sosthéne Mbernodji. Pour lui, les détenus de Moundou, dont certains ont été arrêtés chez eux jusqu’à la date du 7 novembre 2022 souffrent de différentes pathologies, mais les demandes de mise en liberté pour les malades ou étudiants introduites par leur conseil auprès du juge n’ont pas eu une suite favorable. Ils sont jugés, ni condamnés mais passent déjà 6mois de détention préventive. Au vu de cet écart, le MCPL demande purement et simplement leur mise en liberté. 

En dehors de ceux de Moundou, le MCPL informe que beaucoup d’autres sont restés captifs dans les prisons de Klessoum, Doba, Koumra, Moussoro et Koro-Toro.  

"Nous voulons porter à la connaissance de l’opinion publique nationale et internationale le cas des 17 jeunes arrêtés suite aux manifestations du 20 octobre 2022, qui croupissent à la maison d’arrêt de Moundou sans que leur procès ne soit ouvert, renseigne le cordonateur Sosthéne Mbernodji. Pour lui, les détenus de Moundou, dont certains ont été arrêtés chez eux jusqu’à la date du 7 novembre 2022 souffrent de différentes pathologies, mais les demandes de mise en liberté pour les malades ou étudiants introduites par leur conseil auprès du juge n’ont pas eu une suite favorable. Ils sont jugés, ni condamnés mais passent déjà 6mois de détention préventive. Au vu de cet écart, le MCPL demande purement et simplement leur mise en liberté. 

En dehors de ceux de Moundou, le MCPL informe que beaucoup d’autres sont restés captifs dans les prisons de Klessoum, Doba, Koumra, Moussoro et Koro-Toro.  

Fil Facebook