Tchad : Le prix de Rame de feuilles, freine les activités bureautiques

Tchad : Le prix de Rame de feuilles, freine les activités bureautiques

Société Bande Info 3 octobre 2024 513

Tchad : Le prix de Rame de feuilles, freine les activités bureautiques

Depuis près de trois mois à N'djamena les secrétariats publics surtout les cyber-cafés se voient dans l'obligation d'augmenter le prix de la photocopie qui passe de 25f à 50f la page. Du jour au lendemain, ce prix exorbitant des rames de feuilles est constaté sans aucune raison valable. "Avant une rame de feuilles ne coûtait que 3000fcfa, mais depuis quelques mois, nous achetons une rame de feuilles à 5000f. Et là, nous ne pouvons pas photocopier à 25fcfa, on va gagner quoi?". S'interroge Lamido, un détenteur d'un centre de service informatique sur l'axe dembé-pont étroit dans le 7ème arrondissement de N'djamena.

Pour corroborer ces faits, il vous suffit juste de faire un tour dans les marchés de N'djamena pour vous rendre à l'évidence. Où va le Tchad ? Pourtant, l'on n'a même pas remarqué depuis ces derniers temps une carence de ces rames de papier à N'Djamena. Pourquoi augmenter le prix ? Où bien c'est aussi la Russie et Ukraine seuls qui ravitaillent le Tchad en ce matériau temps prisé par les administrateurs, élèves et étudiants? S'interrogent les consommateurs.

"Tous ces prix s'augmente sous les yeux impuissant des autorités en charge du commerce que nous pouvons traiter de complice de ces commerçants". Dixit un diplômé sans emploi rencontré dans un cyber et qui requiert l'anonymat. 

Pour Alfred, un détenteur d'un cyber-cafés dans un institut universitaire de la place que nous avons rencontré déclaré: " je suis obligé de suspendre la photocopie dans mon centre de service. Bien qu'il n'y a que ça, chez moi qui me génère du revenu. Et c'est ne pas du tout facile pour le moment. Et c'est la meilleure solution pour maintenir un bon climat avec les étudiants".

Les étudiants, les élèves, les sans emplois ne sont pas les seuls à connaître les répercussions. Nous constatons une carence de ces feuilles dans les administrations privées tout comme publiques non pas qu'elles n'existent pas au marché mais simplement parce que c'est trop chères. La vente en détail au quartier dans les boutiques n'existe plus. 

Les autorités en charge du commerce sont interpellées à régler la question du prix de rame de papier avant qu'il ne paralyse l'administration tchadienne en commençant par la douane qui est souvent fustigée par les commerçants.

Depuis près de trois mois à N'djamena les secrétariats publics surtout les cyber-cafés se voient dans l'obligation d'augmenter le prix de la photocopie qui passe de 25f à 50f la page. Du jour au lendemain, ce prix exorbitant des rames de feuilles est constaté sans aucune raison valable. "Avant une rame de feuilles ne coûtait que 3000fcfa, mais depuis quelques mois, nous achetons une rame de feuilles à 5000f. Et là, nous ne pouvons pas photocopier à 25fcfa, on va gagner quoi?". S'interroge Lamido, un détenteur d'un centre de service informatique sur l'axe dembé-pont étroit dans le 7ème arrondissement de N'djamena.

Pour corroborer ces faits, il vous suffit juste de faire un tour dans les marchés de N'djamena pour vous rendre à l'évidence. Où va le Tchad ? Pourtant, l'on n'a même pas remarqué depuis ces derniers temps une carence de ces rames de papier à N'Djamena. Pourquoi augmenter le prix ? Où bien c'est aussi la Russie et Ukraine seuls qui ravitaillent le Tchad en ce matériau temps prisé par les administrateurs, élèves et étudiants? S'interrogent les consommateurs.

"Tous ces prix s'augmente sous les yeux impuissant des autorités en charge du commerce que nous pouvons traiter de complice de ces commerçants". Dixit un diplômé sans emploi rencontré dans un cyber et qui requiert l'anonymat. 

Pour Alfred, un détenteur d'un cyber-cafés dans un institut universitaire de la place que nous avons rencontré déclaré: " je suis obligé de suspendre la photocopie dans mon centre de service. Bien qu'il n'y a que ça, chez moi qui me génère du revenu. Et c'est ne pas du tout facile pour le moment. Et c'est la meilleure solution pour maintenir un bon climat avec les étudiants".

Les étudiants, les élèves, les sans emplois ne sont pas les seuls à connaître les répercussions. Nous constatons une carence de ces feuilles dans les administrations privées tout comme publiques non pas qu'elles n'existent pas au marché mais simplement parce que c'est trop chères. La vente en détail au quartier dans les boutiques n'existe plus. 

Les autorités en charge du commerce sont interpellées à régler la question du prix de rame de papier avant qu'il ne paralyse l'administration tchadienne en commençant par la douane qui est souvent fustigée par les commerçants.

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