TCHAD: MARCHÉ TARADONA DE N'DJAMÉNA UN VÉRITABLE DÉPOTOIR

TCHAD: MARCHÉ TARADONA DE N'DJAMÉNA UN VÉRITABLE DÉPOTOIR

Société Bande Info 3 octobre 2024 329

TCHAD: MARCHÉ TARADONA DE N'DJAMÉNA UN VÉRITABLE DÉPOTOIR

A première vue, le marché "taradona" dans le 7eme arrondissement de la capitale Tchadienne ressemble bien fort à un coin abandonné des années. Des tas de saleté jonchent le sol, accompagné d'une odeur neoseabonde. C'est dans cette commerçants exercent sans souci leur activité. Ce marché, construit dans les normes architerales perd très vite sa valeur faute de manque d'un service d'entretien et de l'incivisme caractérisé des commerçants. 

Les abords du marché sont transformés transformés systématiquement en dépotoir pourtant de bagues à ordures sont visibles. La plupart de ces déchets proviennent des vendeurs de fruits. Ceux-ci, au lieu de déposer les fruits gâtés dans les bagues à ordures, ils préfèrent jeter non loin d'eux.

Conséquence imprévue

Les maisons avoisinantes n'en peuvent pas. Difficile d'avoir de l'air pur. Cette situation fait que la plupart des ménages ne peuvent pas utiliser la cour de leur maison ils sont obligés de rester dans les chambres.

Le comble dans ce désordre est que, la mairie prélève normalement les droits de place. 

Si la population environnante n'y prend pas garde, elle est exposée à des maladies plus graves.

A première vue, le marché "taradona" dans le 7eme arrondissement de la capitale Tchadienne ressemble bien fort à un coin abandonné des années. Des tas de saleté jonchent le sol, accompagné d'une odeur neoseabonde. C'est dans cette commerçants exercent sans souci leur activité. Ce marché, construit dans les normes architerales perd très vite sa valeur faute de manque d'un service d'entretien et de l'incivisme caractérisé des commerçants. 

Les abords du marché sont transformés transformés systématiquement en dépotoir pourtant de bagues à ordures sont visibles. La plupart de ces déchets proviennent des vendeurs de fruits. Ceux-ci, au lieu de déposer les fruits gâtés dans les bagues à ordures, ils préfèrent jeter non loin d'eux.

Conséquence imprévue

Les maisons avoisinantes n'en peuvent pas. Difficile d'avoir de l'air pur. Cette situation fait que la plupart des ménages ne peuvent pas utiliser la cour de leur maison ils sont obligés de rester dans les chambres.

Le comble dans ce désordre est que, la mairie prélève normalement les droits de place. 

Si la population environnante n'y prend pas garde, elle est exposée à des maladies plus graves.

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