Tchad: Masra Succès, un nom controversé pour le meilleur
Tchad: Masra Succès, un nom controversé pour le meilleur
Suite à l'accord de principe conclu entre le parti les transformateurs et le gouvernement Tchadien sous l'égide du facilitateur le Congolais Félix tchichekedi, des analystes de tout bord sont sortis du lot. Pour tirer au clair ces diverses interprétations, le journaliste analyste Azoudoum Aweina Gédéon recadre le débat les choses.
Suite à l'accord de principe conclu entre le parti les transformateurs et le gouvernement Tchadien sous l'égide du facilitateur le Congolais Félix tchichekedi, des analystes de tout bord sont sortis du lot. Pour tirer au clair ces diverses interprétations, le journaliste analyste Azoudoum Aweina Gédéon recadre le débat les choses.
Masra encore ? Masra toujours et le même ! A chaque fois que Masra prenait la parole, ses propos avaient été toujours décortiqués, à fond, par ses détracteurs. Des extrapolations en extrapolations, de niaiserie en niaiserie, des interprétations stériles en interprétations stériles, au pire de cas d'injures en injures. Tout était à l'extrême et à foison !
Et lorsqu'il y avait un quelconque évènement autour duquel Succès MASRA n'aurait pas choisi de réagir, là encore tollé ! "Que signifie le silence de Masra, pourtant habitué à réagir" ? "Non, il condamne quand ça touche ses parents... les autres ne sont des humains... ". " Son silence cache quelque chose... c'est un divisionniste... c'est un haineux contre les tels...". Toutes les insanités étaient étalées, de manière péremptoire ! Les mêmes qui avaient prophétisé sa mort politique, même plusieurs, ont eu encore le courage de dire encore " non, Masra a commis la pire des erreurs " ou encore " c'est fini déjà pour lui", etc.
A la réalité, Masra était devenu comme l'écrivain français, Jean-Paul SARTRE, l'assignait à ses paires " l'écrivain est en situation dans son époque : Chaque parole a des retentissements. Chaque silence aussi". Or, ici la responsabilité engage les hommes de culture. Les hommes de plume, les écrivains qui sont les "hérauts" du peuple, selon Aimé CÉSAIRE. Qui sont les " échos sonores", de l'avis de Victor HUGO.
Or, jusqu'ici, cet engagement qui ne laisse aucun choix est une faculté reconnue et imposée aux écrivains, aux hommes de culture, qui travaillent pour guider le peuple. Ils sont " engagés ", reconnaît Sartre. Ils sont " embarqués", renchérit CAMUS, pour qui "#embarquer me paraît plus juste qu'engager" en ce sens que l'engagement est un choix alors que l'embarquement est une situation involontaire, d'où " l'écrivain est en situation dans son époque " pour le meilleur et pour le pire.
C'était ainsi que Sartre pouvait condamner ses aînés de plume "Je tiens Flaubert et Goncourt pour responsables de la répression qui suivit la Commune parce qu'ils n'ont pas écrit une ligne pour l'empêcher. Ce n'était pas leur affaire, dira-t-on". Quelle belle interpellation !
Aujourd'hui, à l'image de la carricature que je viens de faire ressortir du personnage ou de la personnalité de Masra, il porte à croire que le leader Transformateur est dans cette situation. Pourtant, c'est un pays politique, qui se bat pour l'aboutissement de son agenda politique. C'est tant mieux, si cette exigence devient monnaie pour les hommes politiques de notre pays. Sera-ce uniquement pour ceux de notre temps? Ou davantage à Masra uniquement ? Mais si nous voulons appliquer la même situation des écrivains, ne tiendrons-nous pas pour responsables de préférence les aînés de Masra de quelque chose ? [En tout cas, imaginez ce que c'est...].
Pour revenir à mon sujet initial, aujourd'hui depuis trois (3) jours passés, ce n'est ni seulement la parole, ni le silence de Masra qui font polémique. C'est un acte qu'il a posé. Un acte totalement nouveau. Un acte qu'il pose pour la première fois. Que beaucoup ont posé avant lui. Cependant, son objet n'est connu jusqu'ici ni d'Adam ni d'Eve. Mais il empêche au monde entier de dormir ( c'est l'hyperbole).
Tout le monde crie. Tout monde regrette. Tout le monde condamne. Tout le monde dénonce. Tout le monde analyse et fournit des déductions. Tout le monde interprète, de manière spectaculaire. Tout le monde. Tout monde. Tout le monde. Même ses amis d'hier lui versent maintenant la bouillie sur le visage. Deviennent amers vis-à-vis de lui. A tort ou à raison. Et comme toujours, il est imperturbable. Ce qui est indéniable, on donne raison à Succès MASRA tard... Car je crois toujours dans le #illim dont ils disposent, lui et ses camarades.
Honnêtement, je ne veux/vais pas les en vouloir. Car je suppose qu'ils savent sûrement ce qu'ils font et le pourquoi... Seulement, moi, je ne détiens rien pour le moment qui me permette de faire du procès à Masra. Et je suis #patient pour attendre d'en découvrir. Le reste, qu'on pourra ne pas en être d'accord, est réservé à la poubelle de l'histoire. Chacun en a naturellement pour sa part.
Le nom de Masra, comme depuis déjà 4 à 5 ans, est le nom le plus employé. Et il le devient de plus en plus. Le plus critiqué, mais pas plus que le plus le plus admiré et le plus aimé. C'est donc un grand nom, placé au-dessus de tous les noms au Tchad, actuellement. Faisant la UNE de tous les medias du monde proche de nous. C'est un nom entré dans l'histoire du Tchad, heureusement du bon côté. Un nom dont l'invocation cristallise. Anime. Divise. Inspire. Donne l'espoir. Les faits sont trop têtus que tout sait que l'accord implique deux personnes, mais on ne parle même pas de l'autre.
Vous pouvez l'aimer ou non. Mais voilà ce Masra. Je sais que certains sont même déjà fâchés contre moi. Mais rassurez-vous, on sera là jusqu'à ce qu'on s'entende. Bien, Masra aura misé sur une mauvaise option stratégique. Et c'est possible. Mais cela n'enlève en rien la grandeur d'homme qui est dorénavant sienne. Il a atteint la maturité politique, insondable.
Que peut-il rester pour lui, si ce n'était de jouir d'un choix populaire opéré par le peuple tchadien qui l'aime actuellement dans sa majorité et prêt à le plébisciter, depuis Bardaï jusqu'à Goré ; depuis Pala jusqu'à Adré et depuis Mao jusqu'à Sarh. Sinon, à l'heure Masra pouvait presque chanter :
" Oui, dans ta paix, je veux marcher
Chaque partie de mon histoire
Fut convertie en victoire
Entre tes mains, j'ai tout laissé…". Puisque à ce niveau de tropique où les affabulateurs sont nombreux que ceux qui cherchent à savoir, c'est presque l'apothéose. Voilà qui attire mon attention pour le moment.
Azoudoum Aweina Gédéon
Journaliste libre d'esprit et de pensée
Inspiré par mon premier Amour, la littérature.
Masra encore ? Masra toujours et le même ! A chaque fois que Masra prenait la parole, ses propos avaient été toujours décortiqués, à fond, par ses détracteurs. Des extrapolations en extrapolations, de niaiserie en niaiserie, des interprétations stériles en interprétations stériles, au pire de cas d'injures en injures. Tout était à l'extrême et à foison !
Et lorsqu'il y avait un quelconque évènement autour duquel Succès MASRA n'aurait pas choisi de réagir, là encore tollé ! "Que signifie le silence de Masra, pourtant habitué à réagir" ? "Non, il condamne quand ça touche ses parents... les autres ne sont des humains... ". " Son silence cache quelque chose... c'est un divisionniste... c'est un haineux contre les tels...". Toutes les insanités étaient étalées, de manière péremptoire ! Les mêmes qui avaient prophétisé sa mort politique, même plusieurs, ont eu encore le courage de dire encore " non, Masra a commis la pire des erreurs " ou encore " c'est fini déjà pour lui", etc.
A la réalité, Masra était devenu comme l'écrivain français, Jean-Paul SARTRE, l'assignait à ses paires " l'écrivain est en situation dans son époque : Chaque parole a des retentissements. Chaque silence aussi". Or, ici la responsabilité engage les hommes de culture. Les hommes de plume, les écrivains qui sont les "hérauts" du peuple, selon Aimé CÉSAIRE. Qui sont les " échos sonores", de l'avis de Victor HUGO.
Or, jusqu'ici, cet engagement qui ne laisse aucun choix est une faculté reconnue et imposée aux écrivains, aux hommes de culture, qui travaillent pour guider le peuple. Ils sont " engagés ", reconnaît Sartre. Ils sont " embarqués", renchérit CAMUS, pour qui "#embarquer me paraît plus juste qu'engager" en ce sens que l'engagement est un choix alors que l'embarquement est une situation involontaire, d'où " l'écrivain est en situation dans son époque " pour le meilleur et pour le pire.
C'était ainsi que Sartre pouvait condamner ses aînés de plume "Je tiens Flaubert et Goncourt pour responsables de la répression qui suivit la Commune parce qu'ils n'ont pas écrit une ligne pour l'empêcher. Ce n'était pas leur affaire, dira-t-on". Quelle belle interpellation !
Aujourd'hui, à l'image de la carricature que je viens de faire ressortir du personnage ou de la personnalité de Masra, il porte à croire que le leader Transformateur est dans cette situation. Pourtant, c'est un pays politique, qui se bat pour l'aboutissement de son agenda politique. C'est tant mieux, si cette exigence devient monnaie pour les hommes politiques de notre pays. Sera-ce uniquement pour ceux de notre temps? Ou davantage à Masra uniquement ? Mais si nous voulons appliquer la même situation des écrivains, ne tiendrons-nous pas pour responsables de préférence les aînés de Masra de quelque chose ? [En tout cas, imaginez ce que c'est...].
Pour revenir à mon sujet initial, aujourd'hui depuis trois (3) jours passés, ce n'est ni seulement la parole, ni le silence de Masra qui font polémique. C'est un acte qu'il a posé. Un acte totalement nouveau. Un acte qu'il pose pour la première fois. Que beaucoup ont posé avant lui. Cependant, son objet n'est connu jusqu'ici ni d'Adam ni d'Eve. Mais il empêche au monde entier de dormir ( c'est l'hyperbole).
Tout le monde crie. Tout monde regrette. Tout le monde condamne. Tout le monde dénonce. Tout le monde analyse et fournit des déductions. Tout le monde interprète, de manière spectaculaire. Tout le monde. Tout monde. Tout le monde. Même ses amis d'hier lui versent maintenant la bouillie sur le visage. Deviennent amers vis-à-vis de lui. A tort ou à raison. Et comme toujours, il est imperturbable. Ce qui est indéniable, on donne raison à Succès MASRA tard... Car je crois toujours dans le #illim dont ils disposent, lui et ses camarades.
Honnêtement, je ne veux/vais pas les en vouloir. Car je suppose qu'ils savent sûrement ce qu'ils font et le pourquoi... Seulement, moi, je ne détiens rien pour le moment qui me permette de faire du procès à Masra. Et je suis #patient pour attendre d'en découvrir. Le reste, qu'on pourra ne pas en être d'accord, est réservé à la poubelle de l'histoire. Chacun en a naturellement pour sa part.
Le nom de Masra, comme depuis déjà 4 à 5 ans, est le nom le plus employé. Et il le devient de plus en plus. Le plus critiqué, mais pas plus que le plus le plus admiré et le plus aimé. C'est donc un grand nom, placé au-dessus de tous les noms au Tchad, actuellement. Faisant la UNE de tous les medias du monde proche de nous. C'est un nom entré dans l'histoire du Tchad, heureusement du bon côté. Un nom dont l'invocation cristallise. Anime. Divise. Inspire. Donne l'espoir. Les faits sont trop têtus que tout sait que l'accord implique deux personnes, mais on ne parle même pas de l'autre.
Vous pouvez l'aimer ou non. Mais voilà ce Masra. Je sais que certains sont même déjà fâchés contre moi. Mais rassurez-vous, on sera là jusqu'à ce qu'on s'entende. Bien, Masra aura misé sur une mauvaise option stratégique. Et c'est possible. Mais cela n'enlève en rien la grandeur d'homme qui est dorénavant sienne. Il a atteint la maturité politique, insondable.
Que peut-il rester pour lui, si ce n'était de jouir d'un choix populaire opéré par le peuple tchadien qui l'aime actuellement dans sa majorité et prêt à le plébisciter, depuis Bardaï jusqu'à Goré ; depuis Pala jusqu'à Adré et depuis Mao jusqu'à Sarh. Sinon, à l'heure Masra pouvait presque chanter :
" Oui, dans ta paix, je veux marcher
Chaque partie de mon histoire
Fut convertie en victoire
Entre tes mains, j'ai tout laissé…". Puisque à ce niveau de tropique où les affabulateurs sont nombreux que ceux qui cherchent à savoir, c'est presque l'apothéose. Voilà qui attire mon attention pour le moment.
Azoudoum Aweina Gédéon
Journaliste libre d'esprit et de pensée
Inspiré par mon premier Amour, la littérature.