Aide à la presse : La HAMA passe les médias au détergent
Aide à la presse : La HAMA passe les médias au détergent
Les médias du secteur privé dans leur rôle d’informateurs font face à plusieurs difficultés dont celle de la précarité, raison pour laquelle les autorités du pays ont instauré une loi qui établit de l’aide à la presse privée depuis les années 1999 mais cette aide ne tombe qu’à compte-goutte et selon le bon vouloir des juges des médias.
Cependant, le fait de son allégeance aux autorités, la Hama pinaille les médias et se sucre de 150 millions destinés pour aider les médias du secteur privé dont le montant pour chaque média n’est pas connu. Le flou se passe et continue par devenir une règle d’or instaurée dans cette institution de la république. Le conclave des conseillers devait se pencher sur les questions liées aux disfonctionnements pouvant permettre à aider réellement les médias à se doter des outils nécessaires afin que les organes puissent survivre. Par contre, les personnes de mauvaise volonté qui ont pris en otage l’instance de régulation se livrent à un jeu d’enfants qui consiste à soumettre un formulaire de renseignements aux organes et stations radios. Ce formulaire bien qu’il soit nécessaire ne constitue pas une pièce à répondre aux critères d’éligibilité.
Le mode de sélection n’a pas respecté un certain nombre de règle faisant ainsi des mécontents dans le rang des responsables de quelques médias sanctionnés parce qu’ils refusent de remplir le formulaire de renseignement qui a été soumis à l’intention des médias. Selon quelques indiscrétions, le critère de sélection pour lequel la Hama se base pour retenir les organes reste la fameuse fiche envoyée à chaque organe depuis plusieurs mois pour recueillir les informations d’ordre administratif alors qu’elle dispose des documents comportant l’essentiel se trouvant déjà dans le récépissé et l’ours.
Pour certains, la Hama veut avoir la main mise sur les organes du secteur privé au besoin les manipuler à volonté comme bon lui semble le contenu des publications. Cette manière de faire exaspère nombre des journalistes qui sont habitués à ce passage au détergent les organes de presse privée qui déjà peinent à vivre. Quelques journalistes estiment que la Hama en veut à certains organes pour le fait d’être moins tendre avec les autorités de la transition. Cette année, ce qui fait polémique reste la non transparence sur la répartition de ce fond alloué afin de booster les médias. En plus la Hama ne communique pas sur le montant accordé à chaque organe et en fait de cela un secret d’Etat.
Les médias du secteur privé dans leur rôle d’informateurs font face à plusieurs difficultés dont celle de la précarité, raison pour laquelle les autorités du pays ont instauré une loi qui établit de l’aide à la presse privée depuis les années 1999 mais cette aide ne tombe qu’à compte-goutte et selon le bon vouloir des juges des médias.
Cependant, le fait de son allégeance aux autorités, la Hama pinaille les médias et se sucre de 150 millions destinés pour aider les médias du secteur privé dont le montant pour chaque média n’est pas connu. Le flou se passe et continue par devenir une règle d’or instaurée dans cette institution de la république. Le conclave des conseillers devait se pencher sur les questions liées aux disfonctionnements pouvant permettre à aider réellement les médias à se doter des outils nécessaires afin que les organes puissent survivre. Par contre, les personnes de mauvaise volonté qui ont pris en otage l’instance de régulation se livrent à un jeu d’enfants qui consiste à soumettre un formulaire de renseignements aux organes et stations radios. Ce formulaire bien qu’il soit nécessaire ne constitue pas une pièce à répondre aux critères d’éligibilité.
Le mode de sélection n’a pas respecté un certain nombre de règle faisant ainsi des mécontents dans le rang des responsables de quelques médias sanctionnés parce qu’ils refusent de remplir le formulaire de renseignement qui a été soumis à l’intention des médias. Selon quelques indiscrétions, le critère de sélection pour lequel la Hama se base pour retenir les organes reste la fameuse fiche envoyée à chaque organe depuis plusieurs mois pour recueillir les informations d’ordre administratif alors qu’elle dispose des documents comportant l’essentiel se trouvant déjà dans le récépissé et l’ours.
Pour certains, la Hama veut avoir la main mise sur les organes du secteur privé au besoin les manipuler à volonté comme bon lui semble le contenu des publications. Cette manière de faire exaspère nombre des journalistes qui sont habitués à ce passage au détergent les organes de presse privée qui déjà peinent à vivre. Quelques journalistes estiment que la Hama en veut à certains organes pour le fait d’être moins tendre avec les autorités de la transition. Cette année, ce qui fait polémique reste la non transparence sur la répartition de ce fond alloué afin de booster les médias. En plus la Hama ne communique pas sur le montant accordé à chaque organe et en fait de cela un secret d’Etat.