Commune de Doba : rien ne va depuis plus depuis trois mois

Commune de Doba : rien ne va depuis plus depuis trois mois

Politique Bande Info 3 octobre 2024 646

Commune de Doba : rien ne va depuis plus depuis trois mois

La dissolution du Conseil communal pour le motif de graves disfonctionnement en mars dernier entraine de nombreuses conséquences dans la ville de Doba. La mairie ressemble à une institution fermée, les services principaux ne fonctionnent pas, obligeant les usagers à se déplacer dans la commune de Bebedjia, à plus de 30km pour célébrer les mariages et établir les actes de naissances. Seul le service de l’assiette fiscale fonctionne et permet à quelques individus d’arrondir les week end.

Aujourd’hui, la ville ressemble à un dépotoir puisque le service de la voirie n’est pas opérationnel. Le marché moderne construit grâce aux revenus pétroliers n’en peut plus respirer de bon air. Les caniveaux qui doivent drainer les eaux ne sont pas curés, la ville n’a pas d’eau potable ni électricité etc. 

Pourtant, l’intérimaire de l’exécutif emporté par la dissolution est assuré par le Secrétaire général Adrien Ngarmian. Ce dernier abandonne son bureau pour des raisons que l’on ne connait. Plusieurs sources anonymes nous renseignent que l’actuel responsable intérimaire gère la mairie comme sa poche, il envoie chaque jour les agents faire des collectes aux différents marchés de la ville et lui rendent compte quelques fois à son domicile. Une autre source cite David Houdeingar et Opportune Aimadji, deux élites de la province qui auraient hissé l’actuel gestionnaire de la mairie à ce poste pourtant incompétent.

Dans toutes ces conditions, pourquoi l’Etat prend de telle décision sans les mesures d’accompagnement ? La réponse serait aussi simple, Doba est donc une ville de l’opposition qu’il faille la traiter ainsi.

Acte1

La dissolution du Conseil communal pour le motif de graves disfonctionnement en mars dernier entraine de nombreuses conséquences dans la ville de Doba. La mairie ressemble à une institution fermée, les services principaux ne fonctionnent pas, obligeant les usagers à se déplacer dans la commune de Bebedjia, à plus de 30km pour célébrer les mariages et établir les actes de naissances. Seul le service de l’assiette fiscale fonctionne et permet à quelques individus d’arrondir les week end.

Aujourd’hui, la ville ressemble à un dépotoir puisque le service de la voirie n’est pas opérationnel. Le marché moderne construit grâce aux revenus pétroliers n’en peut plus respirer de bon air. Les caniveaux qui doivent drainer les eaux ne sont pas curés, la ville n’a pas d’eau potable ni électricité etc. 

Pourtant, l’intérimaire de l’exécutif emporté par la dissolution est assuré par le Secrétaire général Adrien Ngarmian. Ce dernier abandonne son bureau pour des raisons que l’on ne connait. Plusieurs sources anonymes nous renseignent que l’actuel responsable intérimaire gère la mairie comme sa poche, il envoie chaque jour les agents faire des collectes aux différents marchés de la ville et lui rendent compte quelques fois à son domicile. Une autre source cite David Houdeingar et Opportune Aimadji, deux élites de la province qui auraient hissé l’actuel gestionnaire de la mairie à ce poste pourtant incompétent.

Dans toutes ces conditions, pourquoi l’Etat prend de telle décision sans les mesures d’accompagnement ? La réponse serait aussi simple, Doba est donc une ville de l’opposition qu’il faille la traiter ainsi.

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