Ce vendredi 18 novembre à la maison des médias du Tchad, le Le vice-président de l’association Libre Afrique Tchad (Lat), Josue Nekoura Koumnobeye a animé un point de presse relatif aux événements du 20 octobre 2022 qui ony entraîné la mort du journaliste Narcisse Oredjé. et a appelé la communauté internationale à sortir de son mutisme et à prendre ses responsabilités pour que justice soit faite.

Selon le vice-président de l’association Libre Afrique Tchad, Josué Nekoura Koumnobeye, les événements du 20 octobre dernier occasionnant la mort de nombreux tchadiens parmi lesquels celui du journaliste réalisateur de la radio Cefod, par ailleurs secrétaire général de l’association Libre Afrique Tchad, Narcisse Oredje. Ces multiples tueriis selon lat, est là face cachée du pouvoir de transition qui a pour mode de gouvernance basé sur la restriction les libertés fondamentales.

Se référant sur des textes nationaux et internationaux, le vice-président Josué Nekoura Koumnobeye évoque la charte universelle des droits de l’homme comme quoi : « la vie humaine est sacrée et inviolable, par conséquent nul n’a le droit de l’ôter , de la supprimer, ou de la bafouer ».

Ainsi, l'association exige entre autre l’ouverture d’une enquête internationale sous l’égide d’un cabinet indépendant, la reconnaissance et l’élévation à titre posthume de feu Narcisse Oredje au rang de l’ordre national civique par les autorités de la transition, la réclamation du respect des droits à la liberté d’expression et d’association et exhorte les autorités de la transition à prôner la politique de la main tendue pour instaurer un climat de paix et de stabilité.