Le GCAP s'insurge contre les appareils Étatiques

Le GCAP s'insurge contre les appareils Étatiques

Politique Bande Info 3 octobre 2024 537

Les membres du Groupe de Concertation des Acteurs Politique (GCAP) et la plate forme Panafricaine ont fait une déclaration de non reconnaissance du CNT, de la Cour suprême, du Conseil constitutionnel, de l'ANGE et du Président de transition Mahamat Idriss Deby Itno ce 8 février 2024 à la salle de conférence du 27 novembre de la radio FM liberté à N'Djamena dans le 7ème arrondissement.

Les membres du Groupe de Concertation des Acteurs Politique (GCAP) et la plate forme Panafricaine ont fait une déclaration de non reconnaissance du CNT, de la Cour suprême, du Conseil constitutionnel, de l'ANGE et du Président de transition Mahamat Idriss Deby Itno ce 8 février 2024 à la salle de conférence du 27 novembre de la radio FM liberté à N'Djamena dans le 7ème arrondissement.

Le GCAP s'insurge contre les appareils Étatiques

Dans la salle, en face des journalistes , un bon nombre des chefs de partis politiques d'opposition ayant l'aire irrité font jaser les mots. Une colère plutôt visible aux yeux de ces derniers. Et c'est par la voix de Max Kemkoye , l'un des membres dudit groupement que l'amertume s'estempille. Pour GCAP, la junte et son chef, Mahamat Idriss Deby Itno ont perpétré le second coup d'État institutionnel ayant débouché à l'imposition de la constitution de la 5ème République. De ce fait, le GCAP pointe du doigt accusateur la communauté internationale de son silence d'être complice au sabotage des valeurs démocratiques.

GCAP et la plate forme républicaine se résignent de rejeter en bloc la constitution de la 5ème République adoptée en décembre dernier. Car, selon Max Kemkoye, une constitution votée par moins de 6% du corps électoral ne saurait être l'aspiration du peuple tchadien. Ce leader politique de poursuivre qu'en principe, qu'une fois que la constitution est votée et proclamée, l'ensemble des organes de transition disparaissent et qu'aucune charte ne devrait plus être en vigueur. Selon ces opposants, Mahamat Idriss Deby Itno qu'il monte, descende ou cale en l'air n'est pas un Président de la République du Tchad. Car, la fonction de Président de la République n'est ni concevable ni acquerable. Pensent-ils.

Et de peur que les mêmes erreurs du passé reviennent, le GCAP voit en mal la position de Haroun KABADI comme le président du conseil national de transition à qui tous les pouvoirs de désignation lui sont conférés.

 

Dans la salle, en face des journalistes , un bon nombre des chefs de partis politiques d'opposition ayant l'aire irrité font jaser les mots. Une colère plutôt visible aux yeux de ces derniers. Et c'est par la voix de Max Kemkoye , l'un des membres dudit groupement que l'amertume s'estempille. Pour GCAP, la junte et son chef, Mahamat Idriss Deby Itno ont perpétré le second coup d'État institutionnel ayant débouché à l'imposition de la constitution de la 5ème République. De ce fait, le GCAP pointe du doigt accusateur la communauté internationale de son silence d'être complice au sabotage des valeurs démocratiques.

GCAP et la plate forme républicaine se résignent de rejeter en bloc la constitution de la 5ème République adoptée en décembre dernier. Car, selon Max Kemkoye, une constitution votée par moins de 6% du corps électoral ne saurait être l'aspiration du peuple tchadien. Ce leader politique de poursuivre qu'en principe, qu'une fois que la constitution est votée et proclamée, l'ensemble des organes de transition disparaissent et qu'aucune charte ne devrait plus être en vigueur. Selon ces opposants, Mahamat Idriss Deby Itno qu'il monte, descende ou cale en l'air n'est pas un Président de la République du Tchad. Car, la fonction de Président de la République n'est ni concevable ni acquerable. Pensent-ils.

Et de peur que les mêmes erreurs du passé reviennent, le GCAP voit en mal la position de Haroun KABADI comme le président du conseil national de transition à qui tous les pouvoirs de désignation lui sont conférés.

 

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