Me ALAIN KOGONBE TIENT MORDICUS A CE QUE ABEL MAINA SE PRESENTE A LA JUSTICE

Me ALAIN KOGONBE TIENT MORDICUS A CE QUE ABEL MAINA SE PRESENTE A LA JUSTICE

Politique Bande Info 3 octobre 2024 494

Au cours d’un point de presse animé ce jeudi à la maison de media du Tchad, Me Alain Kagonbé se dit ne pas comprendre l’attitude de la justice qui veut pas rendre justice a une communauté qui a fait l’objet des injures de la part de Abel Maïna activiste rentré de France pour le dialogue national inclusif.

Au cours d’un point de presse animé ce jeudi à la maison de media du Tchad, Me Alain Kagonbé se dit ne pas comprendre l’attitude de la justice qui veut pas rendre justice a une communauté qui a fait l’objet des injures de la part de Abel Maïna activiste rentré de France pour le dialogue national inclusif.

Me ALAIN KOGONBE TIENT MORDICUS A CE QUE ABEL MAINA SE PRESENTE A LA JUSTICE

Cette communication qui vise à informer sur l’affaire des insultes proférées par Abel Maïna contre la communauté Zakawa qui n’avance pas. Pour l’avocat de cette communauté, Me Alain Kagonbé, c’est parce que : « la justice est devenu une justice à deux vitesses ». Il explique que lorsque la communauté zakawa à la suite de la plainte déposée contre Monsieur Abel Maïna, une convocation a été servie à ce dernier, finalement elle se retrouve sur les réseaux sociaux.  

Dans la rétrospective des faits, Me Alain avertit que Abel Maïna se trouvait en France, il était un activiste, le rôle d’un activiste c’est de dénoncer les méfaits de la société, c’est de lutter pour un état de droit, c’est de lutter pour le respect des individus, c’est d’être proche de l’opprimé, c’est d’aller contre l’oppresseur. Malheureusement: « Abel Maïna a fait de son thème favori des injures à caractère ethnique et les incitations à la haine tribale. Il s’en est pris à la communauté Zakawa qu’il a traité de voleur, de criminel, violeur. Et c’est à bon droit qu’une bonne partie que la communauté Zakawa n’a pas voulu se rendre justice mais a confié son sort à la justice en déposant une plainte contre Abel Maïna afin qu’il puisse démontrer. »

Les manœuvres entrainant l’arrêt du dossier

Selon Me Alain Kagonbé : « à peine les parties ne soient entendus avec un procès-verbal régulier, un appel téléphonique est venu de quelque part, y’a jamais eu l’audition des parties, le politique s’y est mêlé et le procureur de la république a demandé que la « dnrj » lui communique le dossier et il a fait un classement sans suite ». Pour l’avocat de la communauté Zakawa, cette affaire ne s’arrêtera pas. Ainsi, il confirme que : « la loi nous permet de contourner la décision du procureur, de déposer une plainte avec la partie civile constituée et c’est ce quoi est fait ».  

Nonobstant ce contournement le dossier connait une fois de plus, une pression meut le dossier : « l’information est ouverte, le juge d’instruction a transmis le dossier au procureur, le dossier est revenu vers le juge d’instruction, la pression est venue de quelque part et le juge d’instruction ne peut pas servir une convocation ».

Les raisons invoquées

Selon les raisons communiquées par Alain Kagonbé : « le pays prépare le dialogue national inclusif » par conséquent, ce procès ne peut avoir lieu. Ainsi, il rappelle aux autorités qui font obstruction sur ce dossier : « que la justice est faite pour protéger les citoyens et elle est faite pour frapper tout ce qui sont coupables ».

Cette communication qui vise à informer sur l’affaire des insultes proférées par Abel Maïna contre la communauté Zakawa qui n’avance pas. Pour l’avocat de cette communauté, Me Alain Kagonbé, c’est parce que : « la justice est devenu une justice à deux vitesses ». Il explique que lorsque la communauté zakawa à la suite de la plainte déposée contre Monsieur Abel Maïna, une convocation a été servie à ce dernier, finalement elle se retrouve sur les réseaux sociaux.  

Dans la rétrospective des faits, Me Alain avertit que Abel Maïna se trouvait en France, il était un activiste, le rôle d’un activiste c’est de dénoncer les méfaits de la société, c’est de lutter pour un état de droit, c’est de lutter pour le respect des individus, c’est d’être proche de l’opprimé, c’est d’aller contre l’oppresseur. Malheureusement: « Abel Maïna a fait de son thème favori des injures à caractère ethnique et les incitations à la haine tribale. Il s’en est pris à la communauté Zakawa qu’il a traité de voleur, de criminel, violeur. Et c’est à bon droit qu’une bonne partie que la communauté Zakawa n’a pas voulu se rendre justice mais a confié son sort à la justice en déposant une plainte contre Abel Maïna afin qu’il puisse démontrer. »

Les manœuvres entrainant l’arrêt du dossier

Selon Me Alain Kagonbé : « à peine les parties ne soient entendus avec un procès-verbal régulier, un appel téléphonique est venu de quelque part, y’a jamais eu l’audition des parties, le politique s’y est mêlé et le procureur de la république a demandé que la « dnrj » lui communique le dossier et il a fait un classement sans suite ». Pour l’avocat de la communauté Zakawa, cette affaire ne s’arrêtera pas. Ainsi, il confirme que : « la loi nous permet de contourner la décision du procureur, de déposer une plainte avec la partie civile constituée et c’est ce quoi est fait ».  

Nonobstant ce contournement le dossier connait une fois de plus, une pression meut le dossier : « l’information est ouverte, le juge d’instruction a transmis le dossier au procureur, le dossier est revenu vers le juge d’instruction, la pression est venue de quelque part et le juge d’instruction ne peut pas servir une convocation ».

Les raisons invoquées

Selon les raisons communiquées par Alain Kagonbé : « le pays prépare le dialogue national inclusif » par conséquent, ce procès ne peut avoir lieu. Ainsi, il rappelle aux autorités qui font obstruction sur ce dossier : « que la justice est faite pour protéger les citoyens et elle est faite pour frapper tout ce qui sont coupables ».

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