Prise de pouvoir par les armes: l'Afrique en est championne

Prise de pouvoir par les armes: l'Afrique en est championne

Politique Bande Info 3 octobre 2024 376

Prise de pouvoir par les armes:  l'Afrique en est championne

Plusieurs des pays africains ont connu de coup d'État mais, les francophones enregistrent de plus grand nombre. Dans un espace de deux ans, plus de huit fois où les gouvernements des pays africains sont renversés par les coups de force. On peut citer ainsi les pays comme le Mali, le Burkina la Guinée, le Soudan, la Libye et le Tchad, qui ont récemment fait dissoudre leurs constitutions par les militaires.

Les pays du G5 Sahel avec plus de cinq coups d'État parmi lesquels celui du Niger, le tout dernier. Le climat actuel ne présage pas une stabilité dans la sous région depuis le début de la guerre des ondes entre le Niger et la CEDEAO, institution en charge des pays de l'Afrique de l'Ouest. Dans l'Est du continent, le Soudan est entré dans une guerre un peu plus de six mois sans une issue entre les deux belligérants.

A cet effet, ces tourbillons de coup d'État influencent non seulement sur la démocratie mais, sur la question du bien être de la population africaine déjà rongée depuis des années par les maladies, les catastrophes naturelles, l'insécurité alimentaire etc. C'est aussi un message fort envoyé pour dire aux civiles qu'ils n'ont pas droit à convoiter le fauteuil présidentiel. Sinon le fait que les militaires y prennent goût à arracher le pouvoir comme bon leur semble, les aspirants du pouvoir d'Etat par les idées politiques se voient les portes fermées.

Pour le cas du Tchad, la peur bleue gagne le camp de la transition qui fini par restreindre les libertés publiques ces derniers jours en instaurant un état d'urgence. Coincé par les évènements de ses voisins, le gouvernement de transition émet de réserve sur l'appel de la Cedeo sur une éventuelle intervention contre la jeunte nigérienne à remettre le pouvoir au président déchu Mohamed Bazoum à son poste de président. Malheureusement, les puchistes refusent et obtiennent des soutiens du Mali et bourkina Faso. L'avenir de la CEDEAO se joue sur le dossier nigérien.

 

Plusieurs des pays africains ont connu de coup d'État mais, les francophones enregistrent de plus grand nombre. Dans un espace de deux ans, plus de huit fois où les gouvernements des pays africains sont renversés par les coups de force. On peut citer ainsi les pays comme le Mali, le Burkina la Guinée, le Soudan, la Libye et le Tchad, qui ont récemment fait dissoudre leurs constitutions par les militaires.

Les pays du G5 Sahel avec plus de cinq coups d'État parmi lesquels celui du Niger, le tout dernier. Le climat actuel ne présage pas une stabilité dans la sous région depuis le début de la guerre des ondes entre le Niger et la CEDEAO, institution en charge des pays de l'Afrique de l'Ouest. Dans l'Est du continent, le Soudan est entré dans une guerre un peu plus de six mois sans une issue entre les deux belligérants.

A cet effet, ces tourbillons de coup d'État influencent non seulement sur la démocratie mais, sur la question du bien être de la population africaine déjà rongée depuis des années par les maladies, les catastrophes naturelles, l'insécurité alimentaire etc. C'est aussi un message fort envoyé pour dire aux civiles qu'ils n'ont pas droit à convoiter le fauteuil présidentiel. Sinon le fait que les militaires y prennent goût à arracher le pouvoir comme bon leur semble, les aspirants du pouvoir d'Etat par les idées politiques se voient les portes fermées.

Pour le cas du Tchad, la peur bleue gagne le camp de la transition qui fini par restreindre les libertés publiques ces derniers jours en instaurant un état d'urgence. Coincé par les évènements de ses voisins, le gouvernement de transition émet de réserve sur l'appel de la Cedeo sur une éventuelle intervention contre la jeunte nigérienne à remettre le pouvoir au président déchu Mohamed Bazoum à son poste de président. Malheureusement, les puchistes refusent et obtiennent des soutiens du Mali et bourkina Faso. L'avenir de la CEDEAO se joue sur le dossier nigérien.

 

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