Tchad : La forme de l’Etat et l’éligibilité des membres du cmt divisent les participants

Tchad : La forme de l’Etat et l’éligibilité des membres du cmt divisent les participants

Politique Bande Info 3 octobre 2024 325

Tchad : La forme de l’Etat et l’éligibilité des membres du cmt divisent les participants

Ce matin 29 septembre 2022, les débats tournent autour de la forme de l’Etat, la question d’éligibilité des dirigeants de la transition, la durée de la transition, les mandats électoraux, et bien d’autres sujets qui font jaser. Des voix s’entremêlent et se popularisent beaucoup plus autour de la forme de l’Etat, le mandat de la transition et l’âge requis pour accéder à la présidence.

Ainsi, pour les uns et les autres, c’est maintenant que commence le dialogue dit national inclusif. Tout le monde est resté figé sur cette question liée à la transition, la forme de l’Etat et l’éligibilité des futurs dirigeants du Tchad. Question dont trouvent certaines personnes à la fois cruciale et fragile qu’il faille traiter avec plus d’attention. 

Proposant que la transition puisse bénéficier de 24 mois supplémentaires et qu’aucune loi tchadienne n’interdisse la non représentation des autorités de transition aux élections, le comité ad hoc a fait naitre des réactions aussi mitigées qu’attendues. 

Abdelsalam Idriss Yaya, l’un des participants attire l’attention de tous sur la décision à prendre. Il rappelle que ce dialogue a commencé dans une « gigantesque contestation » et que quelque part, les rebelles n’attendent qu’un faux pas, soit fait pour contrattaquer. Un avis que partage plus d’un nombre des participants. 

Intervenant avec plus d’émotion, Ndjekilamber Joël trouve pour sa part que le Tchad est en train d’aller à la « dérive » s’il faudrait permettre à ceux qui ont géré la transition d’y revenir avec un autre mandat. Selon lui, pour qu’il y ait la paix, le CMT « doit abandonner la course au pouvoir ». Cependant, certains participants pensent que, le CMT mérite d’être reconduit pour les 24 mois. 

Concernant la nomination d’un premier ministre de transition, il y a des voix contradictoires qui s’élèvent dont la majorité pensent que, le président de la transition n’est pas éligible de nommer le premier ministre.

Tout compte fait, sauf le référendum reste un moyen déterminant envisagé par le présidium pour adopter toutes les décisions qui seront prises lors de la refondation du Tchad.  

Ce matin 29 septembre 2022, les débats tournent autour de la forme de l’Etat, la question d’éligibilité des dirigeants de la transition, la durée de la transition, les mandats électoraux, et bien d’autres sujets qui font jaser. Des voix s’entremêlent et se popularisent beaucoup plus autour de la forme de l’Etat, le mandat de la transition et l’âge requis pour accéder à la présidence.

Ainsi, pour les uns et les autres, c’est maintenant que commence le dialogue dit national inclusif. Tout le monde est resté figé sur cette question liée à la transition, la forme de l’Etat et l’éligibilité des futurs dirigeants du Tchad. Question dont trouvent certaines personnes à la fois cruciale et fragile qu’il faille traiter avec plus d’attention. 

Proposant que la transition puisse bénéficier de 24 mois supplémentaires et qu’aucune loi tchadienne n’interdisse la non représentation des autorités de transition aux élections, le comité ad hoc a fait naitre des réactions aussi mitigées qu’attendues. 

Abdelsalam Idriss Yaya, l’un des participants attire l’attention de tous sur la décision à prendre. Il rappelle que ce dialogue a commencé dans une « gigantesque contestation » et que quelque part, les rebelles n’attendent qu’un faux pas, soit fait pour contrattaquer. Un avis que partage plus d’un nombre des participants. 

Intervenant avec plus d’émotion, Ndjekilamber Joël trouve pour sa part que le Tchad est en train d’aller à la « dérive » s’il faudrait permettre à ceux qui ont géré la transition d’y revenir avec un autre mandat. Selon lui, pour qu’il y ait la paix, le CMT « doit abandonner la course au pouvoir ». Cependant, certains participants pensent que, le CMT mérite d’être reconduit pour les 24 mois. 

Concernant la nomination d’un premier ministre de transition, il y a des voix contradictoires qui s’élèvent dont la majorité pensent que, le président de la transition n’est pas éligible de nommer le premier ministre.

Tout compte fait, sauf le référendum reste un moyen déterminant envisagé par le présidium pour adopter toutes les décisions qui seront prises lors de la refondation du Tchad.  

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