Tchad : Un agent de force de l'ordre dépassé du mal fait contre les transformateurs pleure

Tchad : Un agent de force de l'ordre dépassé du mal fait contre les transformateurs pleure

Société Bande Info 3 octobre 2024 664

Tchad : Un agent de force de l'ordre dépassé du mal fait contre les transformateurs pleure

Ce 9 septembre 2022, c'était un chao total au siège des transformateurs à N'Djamena précisément au quartier Habbena dans le 7ème arrondissement. La chasse aux transformateurs dans la capitale tchadienne ce jour, nous rappelle Mawndoe Naïndouba dans son œuvre étudiant de Soweto. Mulubé et les autres face à la police.

Tout le quartier ce jour, est bondé du gaz lacrymogène formant en lui-même, un nuage et de loin vu comme un brouillard tombé spécialement dans ce quartier. Quelques minutes après ces atrocités, " un agent de force de l'ordre dépassé de la situation, s'est retiré des autres, son arme en main tout en pleurant de vive voix. Que c''est très mal de se retourner contre ses frères. S'il ne venait pas, qu'il n'encour pas non seulement le châtiment corporel, emprisonnement mais aussi d'être radié de cette corporation. Qu'il aime bien ce métier dans son sens propre". A-t-il confié à une dame Madjilem qui s'est courageusement rapprochée de lui pour savoir ce qui n'allait pas pendant que ses voisines lui interdisaient. 

" Nous sommes tous des humains, ces policiers, ces gendarmes et autres, ont chacun une famille, quand cette balle qu'ils tirent se logera dans le coeur de leur proche, même la psychologie ne peut les aider à s'y remettre et le dernier jugement de Dieu nous attend tous. Nous comprenons que ces agents n'obéissent qu'aux ordres. Mais ils sont avant tout humains, ils diront non et vraiment non un jour à ce qu'on les fait faire dans ce pays". Martèle Madjilem amèrement en nous confiant ce témoignage de ce qu'elle a vu et assisté.

Ce 9 septembre 2022, c'était un chao total au siège des transformateurs à N'Djamena précisément au quartier Habbena dans le 7ème arrondissement. La chasse aux transformateurs dans la capitale tchadienne ce jour, nous rappelle Mawndoe Naïndouba dans son œuvre étudiant de Soweto. Mulubé et les autres face à la police.

Tout le quartier ce jour, est bondé du gaz lacrymogène formant en lui-même, un nuage et de loin vu comme un brouillard tombé spécialement dans ce quartier. Quelques minutes après ces atrocités, " un agent de force de l'ordre dépassé de la situation, s'est retiré des autres, son arme en main tout en pleurant de vive voix. Que c''est très mal de se retourner contre ses frères. S'il ne venait pas, qu'il n'encour pas non seulement le châtiment corporel, emprisonnement mais aussi d'être radié de cette corporation. Qu'il aime bien ce métier dans son sens propre". A-t-il confié à une dame Madjilem qui s'est courageusement rapprochée de lui pour savoir ce qui n'allait pas pendant que ses voisines lui interdisaient. 

" Nous sommes tous des humains, ces policiers, ces gendarmes et autres, ont chacun une famille, quand cette balle qu'ils tirent se logera dans le coeur de leur proche, même la psychologie ne peut les aider à s'y remettre et le dernier jugement de Dieu nous attend tous. Nous comprenons que ces agents n'obéissent qu'aux ordres. Mais ils sont avant tout humains, ils diront non et vraiment non un jour à ce qu'on les fait faire dans ce pays". Martèle Madjilem amèrement en nous confiant ce témoignage de ce qu'elle a vu et assisté.

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