"Je veux changer un peu les choses pour bosster notre élan. J'apprécie la promptitude du personnel. Mon style est différent et nous devrons passer beaucoup de temps au travail car notre administration est faible" c'est par ces mots que le ministre ouvre la séance de rencontre. Pour lui, la réussite d'une mission doit passer nécessairement par le concours de tout le personnel. Et pour atteindre le seuil fixé, le ministre renseigne que : s'il faut opérer des changements il le fera dans l'optique d'atteindre l'apogée. 

"Si nous nous organisions bien, on pourrait ramener beaucoup d'argent à l'État. Notre ministère est le deuxième après le pétrole" fulmine le ministre à ses collaborateurs.

Si la digitalisation de l'administration reste un mythe pour certains, le ministre insiste auprès de ses collaborateurs: le système de digitalisation doit commencer d'abord par nous. Nous avons tout ce qu'il nous faut.

La question du genre n'a pas été occulté par le ministre. S'il y'a de réformes, ou de nominations à faire, la femme doit être privilégiée. 

Dans la foulée, le ministre a insisté sur les transferts de compétences. Il n'est pas bien que des gens se forment et viennent garder ce qu'ils ont appris. 

Le secrétaire général du ministère a au non du tout le personnel rassuré le ministre de la disponibilité du personnel à l'aider à parachever les innovations envue.