COMMUNE DE MOUNDOU : NOMMINATION D’UN MAIRE INTERIMAIRE DIVISE
COMMUNE DE MOUNDOU : NOMMINATION D’UN MAIRE INTERIMAIRE DIVISE
Ce jour 19 février, la plateforme de la société civile s’est prononcée sur les dérives de la tutelle dans la gestion de la crise au sein de la mairie. Depuis la suspension de tous les responsables par la mission de contrôle de l’inspection générale d’état, la tutelle nomme un maire intérimaire qui ne requis pas au profil selon la plateforme. Elle précise que la tutelle s’embourbe dans une précipitation en fixant la date du 22 février afin d’élire un nouveau maire.
Selon le secrétaire de cette plateforme de la société civile, Me Dilhornom Banhoudel Osée la population Moundoulaise exige l’annulation pure et simple de la tenue de la session ordinaire élective du conseil municipal prévue le mardi 22 février 2022 ; l’annulation de l’acte désignant le maire intérimaire ; la dissolution inconditionnelle de l’ensemble du conseil municipal au regard de l’ordonnance numéro 036/PR/2018 portant statut des collectivités territoriales autonomes ; la mise sur pied d’un comité de crise bipartite à savoir la tutelle et la population représentée par la plateforme avec un cahier de charge bien déterminé.
Ce jour 19 février, la plateforme de la société civile s’est prononcée sur les dérives de la tutelle dans la gestion de la crise au sein de la mairie. Depuis la suspension de tous les responsables par la mission de contrôle de l’inspection générale d’état, la tutelle nomme un maire intérimaire qui ne requis pas au profil selon la plateforme. Elle précise que la tutelle s’embourbe dans une précipitation en fixant la date du 22 février afin d’élire un nouveau maire.
Selon le secrétaire de cette plateforme de la société civile, Me Dilhornom Banhoudel Osée la population Moundoulaise exige l’annulation pure et simple de la tenue de la session ordinaire élective du conseil municipal prévue le mardi 22 février 2022 ; l’annulation de l’acte désignant le maire intérimaire ; la dissolution inconditionnelle de l’ensemble du conseil municipal au regard de l’ordonnance numéro 036/PR/2018 portant statut des collectivités territoriales autonomes ; la mise sur pied d’un comité de crise bipartite à savoir la tutelle et la population représentée par la plateforme avec un cahier de charge bien déterminé.