Contrôle des engins à N’Djamena: vache à lait des policiers

Contrôle des engins à N’Djamena: vache à lait des policiers

Société Bande Info 3 octobre 2024 792

Contrôle des engins à N’Djamena: vache à lait des policiers

Les agents de la Brigade de la circulation routière en faction dans les différents coins de la capitale se remplissent chaque jour les poches. La négociation entre les usagers des voies publiques et les policiers se fait au vu et au su de tous. Les billets de mille et deux mille francs sont le prix de cette négociation qui selon certains comme un simple “Agal goro” en arabe local qui veut dire les frais de cola.  

Pourtant, ces agents qui arnarquent des paisibles citoyens au grand jour perçoivent chaque fin du mois un salaire de l’Etat. Lors du controle des engins, en cas de manque des pièces exigées, les penalités doivent etre payées contre un réçu du trèsor, mais fort est de constater que ces policiers mettent ces sous dans leurs propre poches. Cette somme sera ensuite partagée jusqu’au niveau d’une hiérarchie donnée. Comme à la coutumée, l’Etat ferme les yeux et laisse ces policiers rendre un vie de calvaire aux citoyens qui n’ont que les yeux pour pleurer. Entretemps, ce système de corruption continue par ronger plus d’un.

Les agents de la Brigade de la circulation routière en faction dans les différents coins de la capitale se remplissent chaque jour les poches. La négociation entre les usagers des voies publiques et les policiers se fait au vu et au su de tous. Les billets de mille et deux mille francs sont le prix de cette négociation qui selon certains comme un simple “Agal goro” en arabe local qui veut dire les frais de cola.  

Pourtant, ces agents qui arnarquent des paisibles citoyens au grand jour perçoivent chaque fin du mois un salaire de l’Etat. Lors du controle des engins, en cas de manque des pièces exigées, les penalités doivent etre payées contre un réçu du trèsor, mais fort est de constater que ces policiers mettent ces sous dans leurs propre poches. Cette somme sera ensuite partagée jusqu’au niveau d’une hiérarchie donnée. Comme à la coutumée, l’Etat ferme les yeux et laisse ces policiers rendre un vie de calvaire aux citoyens qui n’ont que les yeux pour pleurer. Entretemps, ce système de corruption continue par ronger plus d’un.

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