Tandjilé-Ouest: plusieurs hectares de champ dévastés par des éléphants

Tandjilé-Ouest: plusieurs hectares de champ dévastés par des éléphants

Société Bande Info 3 octobre 2024 195

Tandjilé-Ouest: plusieurs hectares de champ dévastés par des éléphants

Dans la nuit du 21 au 22 août, plusieurs villages de la province de Tandjilé Ouest, notamment Chakra Wari, Djalbeye, Berem, Sorbo, ainsi que le canton de Zimé wa Goi, ont été frappés par une vague de destructions causées par des éléphants errants depuis deux mois et demi. Les habitants rapportent que ces pachydermes ont dévasté de nombreux champs, détruit des cases et arraché des arbres, entraînant d’importants dégâts matériels.

Les dommages infligés par les éléphants menacent les moyens de subsistance des villageois, laissant les communautés dans un état de choc et d’incertitude. En plus des destructions matérielles, une personne a déjà perdu la vie lors de ces attaques.

"Depuis juin, ces éléphants errent dans nos villages, mais les autorités restent insensibles à notre détresse. Elles attendent que les villageois commettent l'irréparable avant d'intervenir. En attendant, elles se contentent de saisir les bœufs d'attelage et autres matériels précieux des habitants", dénonce Zakaria, un résident de la zone. Il ajoute que les autorités n'ont pris aucune mesure significative pour protéger les communautés locales jusqu'à ce jour.

Cette crise met en évidence la nécessité d’une gestion plus efficace des conflits entre humains et faune sauvage. Les experts appellent à la mise en place de stratégies de prévention renforcées pour éviter la répétition de tels incidents à l’avenir.

Les autorités locales, ainsi que les organisations de protection de la faune, sont désormais appelées à agir rapidement pour restaurer la sécurité et le bien-être des villageois touchés.

Dans la nuit du 21 au 22 août, plusieurs villages de la province de Tandjilé Ouest, notamment Chakra Wari, Djalbeye, Berem, Sorbo, ainsi que le canton de Zimé wa Goi, ont été frappés par une vague de destructions causées par des éléphants errants depuis deux mois et demi. Les habitants rapportent que ces pachydermes ont dévasté de nombreux champs, détruit des cases et arraché des arbres, entraînant d’importants dégâts matériels.

Les dommages infligés par les éléphants menacent les moyens de subsistance des villageois, laissant les communautés dans un état de choc et d’incertitude. En plus des destructions matérielles, une personne a déjà perdu la vie lors de ces attaques.

"Depuis juin, ces éléphants errent dans nos villages, mais les autorités restent insensibles à notre détresse. Elles attendent que les villageois commettent l'irréparable avant d'intervenir. En attendant, elles se contentent de saisir les bœufs d'attelage et autres matériels précieux des habitants", dénonce Zakaria, un résident de la zone. Il ajoute que les autorités n'ont pris aucune mesure significative pour protéger les communautés locales jusqu'à ce jour.

Cette crise met en évidence la nécessité d’une gestion plus efficace des conflits entre humains et faune sauvage. Les experts appellent à la mise en place de stratégies de prévention renforcées pour éviter la répétition de tels incidents à l’avenir.

Les autorités locales, ainsi que les organisations de protection de la faune, sont désormais appelées à agir rapidement pour restaurer la sécurité et le bien-être des villageois touchés.

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