Dialogue national : « Vraisemblablement on s’achemine vers la date du 15 février » dixit Armand Djégoltar

Dialogue national : « Vraisemblablement on s’achemine vers la date du 15 février » dixit Armand Djégoltar

Politique Bande Info 13 janvier 2022 265

Prévu pour le 15 février, les acteurs impliqués dans l'organisation s'activent à respecter le délai mais aussi réussir. Dans cet entretien, le président du comité technique Armand Djégoltar explique comment les sous comités s'activent à rendre possible la ténue du dialogue tant attendu par les tchadiens.

Prévu pour le 15 février, les acteurs impliqués dans l'organisation s'activent à respecter le délai mais aussi réussir. Dans cet entretien, le président du comité technique Armand Djégoltar explique comment les sous comités s'activent à rendre possible la ténue du dialogue tant attendu par les tchadiens.

Dialogue national : « Vraisemblablement on s’achemine vers la date du 15 février » dixit Armand Djégoltar

Veuillez-vous présenter :

Je suis Djégoltar Armand, président du comité technique du dialogue national inclusif.

Quel est l’état de lieu des préparatifs ?

Il faut dire que les avancées sont là. Vraisemblablement on s’achemine vers la date du 15 février et nous estimons tenir le pari. Je dis ça puis que la préparation est structurée en trois phases : la première qui est le pré dialogue qui est achevée avec les 23 pré dialogues sur le plan national et 12 pré dialogues au niveau extérieur donc 130 personnes en moyenne ont été consultées sur chaque province et 100 personnes sur les sites à l’extérieur. Alors, nous avons fini cette phase et produit des rapports qui sont disponibles sur le site de CODNII (www.codni.td). La deuxième phase c’est les travaux en sous-comité qui sont aussi totalement terminés. Aujourd’hui, nous sommes sur la compilation des rapports d’état qui doit permettre aux participants de s’imprégner des travaux qui ont été mené par les cinq sous-comités thématiques. La dernière étape c’est les questions ad hocs, le règlement intérieur, de l’agenda, toues questions seront réglées. Nous espérons que d’ici le 15 février que le tchadien puisse s’asseoir la main dans la main et mettre sur place un plan social pour le Tchad.

Quel est le nombre de participants arrêté pour cette rencontre ?

Nous travaillons encore sur la question du format, il faut faire en sorte que la participation soit la plus représentative mais nous ne pouvons pas avoir tout le monde nous ne pouvons pas non plus ignorer un certain nombre de catégorie de forces vives de la nation. Donc nous travaillons à trouver un certain nombre d’arbitrage et un équilibrage et en même temps aussi nous travaillons sur la durée du dialogue, il ne faut pas que ce soit le plus court pour élucider des questions non plus que ça soit le plus longue pour essouffler nos capacités financières. Toutes ces questions c’est de trouver juste un équilibre afin de répondre à l’attente des tous. Nous travaillons fortement dessus. Nous espérons que dans les jours qui suivent ces choses seront rendues publiques.

Est ce que le dialogue national inclusif sera un cadre souverain ?  

Il ne revient pas à moi de rassurer que le dialogue sera souverain ou est souverain. Je suis chargé de la préparation mais les hautes autorités ont dit que personne n’est plus mieux placée pour pouvoir dire que le dialogue sera souverain. La parole donnée du président du conseil militaire de transition est suffisamment claire. Le dialogue sera souverain avec des décisions exécutoires. Je crois que les participants ont déjà la garantie nécessaire pour pouvoir décider et se mettre d’accord pour le prochain contrat social.

Cet entretien entre dans le cadre "partenariat CODNI avec les médias sous financement PNUD".

Veuillez-vous présenter :

Je suis Djégoltar Armand, président du comité technique du dialogue national inclusif.

Quel est l’état de lieu des préparatifs ?

Il faut dire que les avancées sont là. Vraisemblablement on s’achemine vers la date du 15 février et nous estimons tenir le pari. Je dis ça puis que la préparation est structurée en trois phases : la première qui est le pré dialogue qui est achevée avec les 23 pré dialogues sur le plan national et 12 pré dialogues au niveau extérieur donc 130 personnes en moyenne ont été consultées sur chaque province et 100 personnes sur les sites à l’extérieur. Alors, nous avons fini cette phase et produit des rapports qui sont disponibles sur le site de CODNII (www.codni.td). La deuxième phase c’est les travaux en sous-comité qui sont aussi totalement terminés. Aujourd’hui, nous sommes sur la compilation des rapports d’état qui doit permettre aux participants de s’imprégner des travaux qui ont été mené par les cinq sous-comités thématiques. La dernière étape c’est les questions ad hocs, le règlement intérieur, de l’agenda, toues questions seront réglées. Nous espérons que d’ici le 15 février que le tchadien puisse s’asseoir la main dans la main et mettre sur place un plan social pour le Tchad.

Quel est le nombre de participants arrêté pour cette rencontre ?

Nous travaillons encore sur la question du format, il faut faire en sorte que la participation soit la plus représentative mais nous ne pouvons pas avoir tout le monde nous ne pouvons pas non plus ignorer un certain nombre de catégorie de forces vives de la nation. Donc nous travaillons à trouver un certain nombre d’arbitrage et un équilibrage et en même temps aussi nous travaillons sur la durée du dialogue, il ne faut pas que ce soit le plus court pour élucider des questions non plus que ça soit le plus longue pour essouffler nos capacités financières. Toutes ces questions c’est de trouver juste un équilibre afin de répondre à l’attente des tous. Nous travaillons fortement dessus. Nous espérons que dans les jours qui suivent ces choses seront rendues publiques.

Est ce que le dialogue national inclusif sera un cadre souverain ?  

Il ne revient pas à moi de rassurer que le dialogue sera souverain ou est souverain. Je suis chargé de la préparation mais les hautes autorités ont dit que personne n’est plus mieux placée pour pouvoir dire que le dialogue sera souverain. La parole donnée du président du conseil militaire de transition est suffisamment claire. Le dialogue sera souverain avec des décisions exécutoires. Je crois que les participants ont déjà la garantie nécessaire pour pouvoir décider et se mettre d’accord pour le prochain contrat social.

Cet entretien entre dans le cadre "partenariat CODNI avec les médias sous financement PNUD".

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