L'ADET demande réparation pour les victimes des tirs d'armes de joie électorale
L'ADET demande réparation pour les victimes des tirs d'armes de joie électorale
Par un communiqué N°046 /BE/SGN/ADHET/2024, signé par son le secrétaire général Abba Daouda Nandjedé et rendu public ce 11 mai l'alliance des défenseurs des droits humains et de l'environnement du Tchad s'indigne contre les tirs de balles sur les paisibles citoyens lors de la proclamation des résultats provisoires déclarant Mahamat Idriss Déby Itno.
Par un communiqué N°046 /BE/SGN/ADHET/2024, signé par son le secrétaire général Abba Daouda Nandjedé et rendu public ce 11 mai l'alliance des défenseurs des droits humains et de l'environnement du Tchad s'indigne contre les tirs de balles sur les paisibles citoyens lors de la proclamation des résultats provisoires déclarant Mahamat Idriss Déby Itno.
Selon l'esprit du communiqué, la vie humaine est sacrée et l’ôter délibérément pour une simple question de joie électorale avec des tirs d’armes de guerre est inadmissible. Malheureusement, c’est le cas.
Le secrétaire général signataire du communiqué mentionne que ces tirs ont fait plus de 10 victimes avec une soixante de blessés dont certains graves. Face à un tel acte adet estime qu'il ne saurait être toléré ni admis dans un Etat qui se respecte.
Ainsi, très outrée par ce qui s’est passé, l’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement au Tchad, ADHET, tout en condamnant avecu ne fermeté sans proportion ces actes, exige des autorités, la mise en place d’une commission et l’ouverture d’une enquête indépendante en toute urgence avec la contribution des populations à l’effet d’identifier ou dénoncer les auteurs de ces tirs pour l’ouverture d’une procédure judiciaire contre les contrevenants.
Si rien n'est fait concrètement ces assassinats s’apparenteraient à une tolérance des actes criminels opérés en toute violation des instructions voire une complicité active tendant à promouvoir l’impunité dans un pays dit de droit.
Par le même communiqué, l’ADHET invite toutes les bonnes volontés à voler au secours des victimes ainsi que leurs familles et qu’une cellule d’accompagnement phycologique soit mise en place pour l’accompagnement des victimes qui ont connu des traumatismes graves inattendus.
Selon l'esprit du communiqué, la vie humaine est sacrée et l’ôter délibérément pour une simple question de joie électorale avec des tirs d’armes de guerre est inadmissible. Malheureusement, c’est le cas.
Le secrétaire général signataire du communiqué mentionne que ces tirs ont fait plus de 10 victimes avec une soixante de blessés dont certains graves. Face à un tel acte adet estime qu'il ne saurait être toléré ni admis dans un Etat qui se respecte.
Ainsi, très outrée par ce qui s’est passé, l’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement au Tchad, ADHET, tout en condamnant avecu ne fermeté sans proportion ces actes, exige des autorités, la mise en place d’une commission et l’ouverture d’une enquête indépendante en toute urgence avec la contribution des populations à l’effet d’identifier ou dénoncer les auteurs de ces tirs pour l’ouverture d’une procédure judiciaire contre les contrevenants.
Si rien n'est fait concrètement ces assassinats s’apparenteraient à une tolérance des actes criminels opérés en toute violation des instructions voire une complicité active tendant à promouvoir l’impunité dans un pays dit de droit.
Par le même communiqué, l’ADHET invite toutes les bonnes volontés à voler au secours des victimes ainsi que leurs familles et qu’une cellule d’accompagnement phycologique soit mise en place pour l’accompagnement des victimes qui ont connu des traumatismes graves inattendus.