L'avenue Ngartery Mathias: le couloir des agresseurs
L'avenue Ngartery Mathias: le couloir des agresseurs
L'avenue Mathias Ngartery ou l'axe CA7 du quartier Chagoua dans le 7eme arrondissement de la ville de Ndjaména devient de plus en plus dangereuse pour des personnes qui utilisent cette voie surtout à partir des heures de l'après-midi à l'aube. Tout au longue de cette avenue, se sont alignés des grands bar dancing de la capitale, attirant le plus grand nombre des consommateurs de bière. Cette afluence, n'est pas sans conséquences, l'endroit est devenu le nid des malfaiteurs. Ces derniers, organisés en bande d'agresseurs font la loi parfois en pleine journée en dépouillant les gens de leurs biens sans aucune assistante des riverains. Pire , les agressions se passent au quotidien sous le nez des policiers du CA7 sans aucune intervention de leur part.
Dans ce climat d'insécurité, les gens vivent dans cette zone avec chaque jour la peur bleue au ventre. Entre-temps, le banditisme prend peu à peu de l'ampleur et l'axe au lieu d'être considéré de joie est plutôt l'axe de malheur. Les responsables en charge de la sécurité des personnes et leurs biens sont interpellés à faire régner l'ordre dans cette avenue qui, d'ailleurs porte le nom du premier archevêque tchadien.
L'avenue Mathias Ngartery ou l'axe CA7 du quartier Chagoua dans le 7eme arrondissement de la ville de Ndjaména devient de plus en plus dangereuse pour des personnes qui utilisent cette voie surtout à partir des heures de l'après-midi à l'aube. Tout au longue de cette avenue, se sont alignés des grands bar dancing de la capitale, attirant le plus grand nombre des consommateurs de bière. Cette afluence, n'est pas sans conséquences, l'endroit est devenu le nid des malfaiteurs. Ces derniers, organisés en bande d'agresseurs font la loi parfois en pleine journée en dépouillant les gens de leurs biens sans aucune assistante des riverains. Pire , les agressions se passent au quotidien sous le nez des policiers du CA7 sans aucune intervention de leur part.
Dans ce climat d'insécurité, les gens vivent dans cette zone avec chaque jour la peur bleue au ventre. Entre-temps, le banditisme prend peu à peu de l'ampleur et l'axe au lieu d'être considéré de joie est plutôt l'axe de malheur. Les responsables en charge de la sécurité des personnes et leurs biens sont interpellés à faire régner l'ordre dans cette avenue qui, d'ailleurs porte le nom du premier archevêque tchadien.