Nomination à la mairie de Moundou : les pèlerins à N'Djamena
Nomination à la mairie de Moundou : les pèlerins à N'Djamena
Le conseil communal de la ville de Moundou après sa dissolution en septembre dernier continue par susciter de bruits quant à la nomination du prochain maire. Il est question de trouver un administrateur chevronné qui doit instaurer un plan de gestion de crises. Une personne à mesure de penser jour et nuit afin de sortir un schéma directeur selon le cahier de charge qui lui sera remis par les autorités.
Cependant, les critères de choix sur le prochain maire de la capitale économique doit reposer sur les compétences mais, les signes avant coureurs nous informent d'un lobby issue du rang des opérateurs économiques proches du pouvoir à savoir l'entreprise MHM et autres qui cherchent à placer leur homme à la tête de la commune pour ne reste qu'à profiter du contrat d'afermage sur le sésame. Ce contrat estimé à plus d'un milliard par an est le plus juteux en terme de recette constitue le nœud du problème que la ville connaît depuis l'arrivée des établissements Ytou, MHM et autres se sont emparés pour simple raison d'être de la famille présidentielle. Ces entreprises obtiennent des marchés grâce aux pots de vin qu'elles donnent aux conseillers et à certains gouverneurs de la province nous informe un ex maire. Cette pratique est un secret de polichinelle dans la ville.
De prime à bord, nous avons réalisé un sondage sur les personnes potentiels candidats au poste de maire. La majorité des candidatures sont issues des rangs du Mps, d'autres de l'opposition voire même de la société civile. Mais comme N'Djamena surprend toujours avec les choix non adhéré des populations locales, un quidam serait parachuté pour le but de détruire davantage la ville des Ngambaye en guise de représailles en rapport à leur farouche opposition aux pouvoirs qui se succèdent y compris la transition en cours. Si aujourd'hui, le Mps se voit revenir après 11 années d'absence à la tête de la mairie de Moundou, il est moins sûr que les militants de ce parti puissent réussir à redresser quelques choses. Ils finiront par créer d'autres problèmes.
En clair, plusieurs noms circulent dans les parafaires du conseil national de transition, à la primature et à la présidence de la République. Mais tout cela ressemble à une cagnotte où les hommes s'activent à parier sur leur candidat afin d'obtenir un couplé gagnant où encore réussir son placé. Voici quelques personnes dont les noms sont courants dans les langues à Moundou.
Emmanuel Beassemnda, Ingénieur de conception en Agronomie ( 65% de chance);
Beramgoto Germain (60% de chance);
Ndoubahidi Guessé, Administratrice civile (55% de chance);
Mbaidessemel Dionadji, Pasteur ( 40% de chance);
Jean Blaise Ndoleubreu, enseignant ( 30% de chance)
Alain Mbaihomdenande, militaire ( 10% de chance);
Ernestine Netoua, artiste (5% de chance)
Le conseil communal de la ville de Moundou après sa dissolution en septembre dernier continue par susciter de bruits quant à la nomination du prochain maire. Il est question de trouver un administrateur chevronné qui doit instaurer un plan de gestion de crises. Une personne à mesure de penser jour et nuit afin de sortir un schéma directeur selon le cahier de charge qui lui sera remis par les autorités.
Cependant, les critères de choix sur le prochain maire de la capitale économique doit reposer sur les compétences mais, les signes avant coureurs nous informent d'un lobby issue du rang des opérateurs économiques proches du pouvoir à savoir l'entreprise MHM et autres qui cherchent à placer leur homme à la tête de la commune pour ne reste qu'à profiter du contrat d'afermage sur le sésame. Ce contrat estimé à plus d'un milliard par an est le plus juteux en terme de recette constitue le nœud du problème que la ville connaît depuis l'arrivée des établissements Ytou, MHM et autres se sont emparés pour simple raison d'être de la famille présidentielle. Ces entreprises obtiennent des marchés grâce aux pots de vin qu'elles donnent aux conseillers et à certains gouverneurs de la province nous informe un ex maire. Cette pratique est un secret de polichinelle dans la ville.
De prime à bord, nous avons réalisé un sondage sur les personnes potentiels candidats au poste de maire. La majorité des candidatures sont issues des rangs du Mps, d'autres de l'opposition voire même de la société civile. Mais comme N'Djamena surprend toujours avec les choix non adhéré des populations locales, un quidam serait parachuté pour le but de détruire davantage la ville des Ngambaye en guise de représailles en rapport à leur farouche opposition aux pouvoirs qui se succèdent y compris la transition en cours. Si aujourd'hui, le Mps se voit revenir après 11 années d'absence à la tête de la mairie de Moundou, il est moins sûr que les militants de ce parti puissent réussir à redresser quelques choses. Ils finiront par créer d'autres problèmes.
En clair, plusieurs noms circulent dans les parafaires du conseil national de transition, à la primature et à la présidence de la République. Mais tout cela ressemble à une cagnotte où les hommes s'activent à parier sur leur candidat afin d'obtenir un couplé gagnant où encore réussir son placé. Voici quelques personnes dont les noms sont courants dans les langues à Moundou.
Emmanuel Beassemnda, Ingénieur de conception en Agronomie ( 65% de chance);
Beramgoto Germain (60% de chance);
Ndoubahidi Guessé, Administratrice civile (55% de chance);
Mbaidessemel Dionadji, Pasteur ( 40% de chance);
Jean Blaise Ndoleubreu, enseignant ( 30% de chance)
Alain Mbaihomdenande, militaire ( 10% de chance);
Ernestine Netoua, artiste (5% de chance)