Rues de N'Djamena : les plus dégradées

Rues de N'Djamena : les plus dégradées

Société Bande Info 3 octobre 2024 438

Rues de N'Djamena : les plus dégradées

La circulation dans la ville de N'Djamena, capitale politique du Tchad n'est pas aisée. Les usagers des voies publiques rencontrent assez de difficultés du fait du mauvais état des grandes artères. De l'avenue Charles De Gaulle à Jacques Nadingar voire Goukouni Wedeye, la dégradation de la voie par les fissures est visible. Les nids de poules laissés par les eaux de pluie ne sont pas arrangés jusque là par les services de voirie de la commune de la ville.

Cependant, les conducteurs des engins n'ont pas seulement éprouvé de difficultés à se déplacer mais payent de fois par leur vie suite aux accidents causés par le mauvais état des routes à N'Djamena. D'autres personnes portent les séquelles pour toute la vie. Ces conséquences n'ont rien entamées à faire réfléchir les autorités sensées de veuiller sur les voies dans les milieux urbains. A chaque fois que la population réclame un temps soit peu à rendre possible la circulation dans la capitale, les maires des communes font fi de cette demande.

Aujourd'hui, dire que N'Djamena est une vitrine de l'Afrique est une insulte infligée aux populations. Actuellement, les usagers des voies publiques rencontrent au quotidien des embouteillages les plus monstres. Cette réalité dans la circulation à N'Djamena crée parfois des différends dans certains ménages et fragilise plusieurs familles.

De ce fait, compte tenu de la démographie galopante, la construction des infrastructures routières devraient constituer une priorité du gouvernement de transition sinon la réhabilitation de certaines rues demeurent nécessaires. C'est dans ces conditions seulement que la capitale aura un réseau routier permettant aux citoyens de circuler librement.

La circulation dans la ville de N'Djamena, capitale politique du Tchad n'est pas aisée. Les usagers des voies publiques rencontrent assez de difficultés du fait du mauvais état des grandes artères. De l'avenue Charles De Gaulle à Jacques Nadingar voire Goukouni Wedeye, la dégradation de la voie par les fissures est visible. Les nids de poules laissés par les eaux de pluie ne sont pas arrangés jusque là par les services de voirie de la commune de la ville.

Cependant, les conducteurs des engins n'ont pas seulement éprouvé de difficultés à se déplacer mais payent de fois par leur vie suite aux accidents causés par le mauvais état des routes à N'Djamena. D'autres personnes portent les séquelles pour toute la vie. Ces conséquences n'ont rien entamées à faire réfléchir les autorités sensées de veuiller sur les voies dans les milieux urbains. A chaque fois que la population réclame un temps soit peu à rendre possible la circulation dans la capitale, les maires des communes font fi de cette demande.

Aujourd'hui, dire que N'Djamena est une vitrine de l'Afrique est une insulte infligée aux populations. Actuellement, les usagers des voies publiques rencontrent au quotidien des embouteillages les plus monstres. Cette réalité dans la circulation à N'Djamena crée parfois des différends dans certains ménages et fragilise plusieurs familles.

De ce fait, compte tenu de la démographie galopante, la construction des infrastructures routières devraient constituer une priorité du gouvernement de transition sinon la réhabilitation de certaines rues demeurent nécessaires. C'est dans ces conditions seulement que la capitale aura un réseau routier permettant aux citoyens de circuler librement.

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