Transport urbain : L'axe Koutou-Moundou en mode tricycle

Transport urbain : L'axe Koutou-Moundou en mode tricycle

Société Bande Info 3 octobre 2024 635

Transport urbain : L'axe Koutou-Moundou en mode tricycle

Les engins à trois roues deviennent les moyens les plus sûrs pour se déplacer d'un quartier à un autre dans la ville de Moundou. Les femmes "Mosso" du marché Guelmbague ont épousé ce mode de transport depuis que les tricycles ont assuré la liaison entre les quartiers périphériques et certains sous marchés de la ville.

Si les femmes préfèrent les tricycles pour leur déplacement, cela est dû au coût du transport qui répond selon quelques témoignages à leur bourse quotidienne. Puis qu'elles pratiquent les activités génératrices de revenus, ces femmes s'activent pour donner sens à beau nombre de foyer dans cette capitale économique où les hommes ecorcent un chômage débordant. Sur une distance de 5 kilomètres environ, le coût du transport est de 100f par personne. Par contre d'autres moyens couteront un plus de 500f. Denemadji, une vendeuse de banane, depuis l'arrivée des tricycles, se refuse le déplacement à moto et préfère débourser 200f pour son aller-retour au lieu de 1000f qui impacte négativement sur son portefeuille quotidien.

Cependant, malgré la flambée du prix de carburant, les engins à trois roues font du bonheur des femmes vendeuses de Guelmbague aux divers articles comme les maïs frais, arachides, bananes, avocat, légumes etc. Elles n'attendent qu'un appui financier des pouvoirs publics ou autres pour rendre heureux les foyers qui subissent déjà une pauvreté sévère pourtant, la province est productrice de pétrole déjà une décennie.

Les engins à trois roues deviennent les moyens les plus sûrs pour se déplacer d'un quartier à un autre dans la ville de Moundou. Les femmes "Mosso" du marché Guelmbague ont épousé ce mode de transport depuis que les tricycles ont assuré la liaison entre les quartiers périphériques et certains sous marchés de la ville.

Si les femmes préfèrent les tricycles pour leur déplacement, cela est dû au coût du transport qui répond selon quelques témoignages à leur bourse quotidienne. Puis qu'elles pratiquent les activités génératrices de revenus, ces femmes s'activent pour donner sens à beau nombre de foyer dans cette capitale économique où les hommes ecorcent un chômage débordant. Sur une distance de 5 kilomètres environ, le coût du transport est de 100f par personne. Par contre d'autres moyens couteront un plus de 500f. Denemadji, une vendeuse de banane, depuis l'arrivée des tricycles, se refuse le déplacement à moto et préfère débourser 200f pour son aller-retour au lieu de 1000f qui impacte négativement sur son portefeuille quotidien.

Cependant, malgré la flambée du prix de carburant, les engins à trois roues font du bonheur des femmes vendeuses de Guelmbague aux divers articles comme les maïs frais, arachides, bananes, avocat, légumes etc. Elles n'attendent qu'un appui financier des pouvoirs publics ou autres pour rendre heureux les foyers qui subissent déjà une pauvreté sévère pourtant, la province est productrice de pétrole déjà une décennie.

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